Bonjour! Si j'en crois leur site, ils se financent 'par prévente' et l'auteur est prié de faire tout qu'il aurait fait via TheBookEdition, mais je pense avec un pourcentage réduit chez eux. Ils apportent les services de correction et mise en page donc je suppose qu'ils se paient quelque part. En ce qui me concerne, je n'en avais jamais entendu parler. Si votre but est d'avoir Editions Machin sur votre couverture, sachez que vous avez parfaitement le droit de mentionner un nom d'éditeur sans qu'il y ait de maison d'édition derrière. De plus 2 à 4 mois de 'comité de lecture' et un contrat qui risque de vous empêcher d'aller ailleurs... lisez bien et réfléchissez.
Faut dire qu'un éditeur qui l'avait critiqué pour son choix de figurer dans un catalogue qu'il jugeait conternant : celui de TBE ! Et d'en profiter pour taper sur cette forme d'édition qui n'en n'était pas une à ses yeux, allant jusqu' à dire que Novi vendait ses livres à des prix déraisonnables, des torchons pleins de fautes d'orthographe quoi.
Ben oui, mon gars, répondait Novi..., mais Novi détient la matiére lui, que tes gentils profs ou universitaires auteurs de polars autodéclarés pas autoentrepreneurs pour deux sous justement, seraient bien en mal de se procurer. Finalement Novi a refusé la proposition vu que la couverture imposée lui plaisait point. Tant pis, Novi n'aura pas été présent sur les rayons de la Fnac pour Noêl.
Notre éditeur vient de sortir un autre polar que celui de Novi ( un truc différent, mais bien cependant)...Mais dont la critique vient de relever des ''coquilles' orthographiques - c'est pudique comme définition !
Y a aussi eu ce nouvel éditeur qui faisait des approches polardeuses, puis Novi a découvert qu'il s'agissait d'un acteur bien connu ( ah l'anonymat bidon), bref un représentant du polar francophone tel que Novi ne le conçoit pas, grrrr !
ton histoire est amusante Novi, comme quoi, personne ne détient la vérité et certains éditeurs manquent singulièrement de dicernement (désolée pour l'orthographe) Pour ma part, après avoir bien réfléchi, j'aimerais un éditeur qui me laisse : - Libre au niveau de la promotion de mon livre (je n'ai pas tjs à lui demander si je peux publier mon livre à tel ou tel endroit) - Libre d'écrire ce que je veux ou je veux. - Partir sans avoir à me justifier ni même à payer quoi que ce soit. - M'aider un tout petit peu à faire la promo de mon livre.
Maintenant, je me demande si cela est possible de trouver tout ceci en un seul et même éditeur. ...Peut être suis je trop difficile. C'est aussi pour ces raisons là que je traîne tjs du côté de tbe !
'' Libre au niveau de la promotion de mon livre (je n'ai pas tjs à lui demander si je peux publier mon livre à tel ou tel endroit) - Libre d'écrire ce que je veux ou je veux. - Partir sans avoir à me justifier ni même à payer quoi que ce soit. - M'aider un tout petit peu à faire la promo de mon livre.
A quelques détails près, il s'agit du deal proposé par l'édition traditionnelle.
Libre d'écrire :oui, puisqu'il se réserve le droit d'éditer ou non le prochain livre ( ce que je ne veux pas, voulant assurer la cohérence de l'oeuvre globale, pas un livre chez Patin et l'autre chez Machin)
Secondo, il n'y a rien à payer puisqu'on céde des droits ! Quant à la diffusion, ce n'est pas l'éditeur qui décide, mais le diffuseur avec qui il travaille.
La promo ? mais l'éditeur paie les billets de train à cet effet...
cependant Novi, certains éditeurs réclament de l'argent si on décide de partir sans pour autant vouloir se justifier et ce procédé ne me convient pas. Ce pourquoi, je pense qu'il faut bien lire toutes les closes d'un contrat avant de le signer car certains contrats ont des closes draconniennes.
Sans m'y être très longuement attardé, j'ai vu un contrat qui me semblait un peu près clean et qui respectait ce que je demandais....voilà
cependant Novi, certains éditeurs réclament de l'argent si on décide de partir sans pour autant vouloir se justifier et ce procédé ne me convient pas.
Mais partir de quoi ? Puisque les droits sont cédés ! L'auteur peut bien décédé, étre incarcéré, ou disparaitre en Patagonie, que l'éditeur dispose toujours du livre. Certains éditeurs revendent même ces droits à un autre éditeur sans consulter l'auteur, droits d'exploitation cinématographique y compris.
DE plus, le contrat d'auteur à compte d'éditeur est relativement encadré par la profession, ce qui fait que tout contrat par trop scélérat peut étre valablement annulé ou recadré par un tribunal.
C'est comme pour les contrats de travail salariés, l'employeur peut y mettre ce qu'il veut ...,n'empèche que devant une juridiction Prud'hommale, c'est le droit commun en usage qui fera référence.
peut être me suis je mal exprimé ? admettons que je signe avec une maison d'édition, que j'ai envie de quitter cette même maison d'édition pour des raisons qui me sont propres, que j'ai envie de re voler de mes propres ailes et là, la dite maison d'édition, me dit : 'ok vous voulez partir de cette maison sans devoir ou vouloir me justifier, vous nous devez x argent) certaines maisons d'éditieons (dont je tairais le nom par respect pour tbe) fonctionnent ainsi et cela est clairement dit dans les closes du contrat. Bref, c'était juste une aparthée pour dire que certaines closes me dérangent plus que d'autre et que c'est aussi pour ça que je 'traîne' toujours sur tbe !
peut être me suis je mal exprimé ? admettons que je signe avec une maison d'édition, que j'ai envie de quitter cette même maison d'édition pour des raisons qui me sont propres, que j'ai envie de re voler de mes propres ailes et là, la dite maison d'édition, me dit : 'ok vous voulez partir de cette maison sans devoir ou vouloir me justifier, vous nous devez x argent)
Ben oui ! J'imagine que la plupart des gens ici, n'ont pas encore tout à fait intégré la logique éditoriale traditionnelle, et qu'ils mélangent avec ce qui est proposé par TBE.
Plume, la maison d'édition, vous pouvez la quitter : vous ! Mais pas votre livre ..., saississez la nuance dans 'je céde mes droits d'auteurs' - plus à vous le livre, et ce, que l'éditeur l'exploite ou pas.
Pour récupérer vos droits, donc votre livre ! Faut, ou racheter ces droits, ou faire un procés ( en démontrant par exemple que l'éditeur n'a mis aucun moyen en oeuvre pour vendre le livre, et ne vous régle pas vos droits de ce fait ).
Bonjour, Certains contrats vous engagent même pour les livres A VENIR. Ce qui se conçoit pour de grand noms que l'on souhaite retenir mais ne fait plus illusion chez ceux qui savent lire, même avec une loupe au besoin, les propositions de contrat. Résumons : vous avez une proposition de contrat d'édition ? - vous ne devez rien payer - vous ne devez pas accepter de co-édition, qui vous fait passer au statut d'éditeur si tel n'est pas votre désir - vous ne devez pas vous engager au-delà d'un livre précis et d'une période limitée. - prenez votre calculette et voyez ce que ce contrat vous apportera réellement par rapport à votre investissement personnel dans l'auto-édition. Pensez qu'en 2010 nous espérons vous aider plus et revoir nos tarifs... - n'hésitez pas à consulter les services juridiques de la SGDL en cas d'interrogation http://www.sgdl.org/
Si un vrai éditeur ayant pignon sur rue résiste favorablement à une recherche poussée sur internet (entrez dans Google 'Editions X.. arnaque', ça marche pas mal :) ) ; si cet éditeur n'est pas par ailleurs un de ces granzéditeurs qui se lancent dans l'impression à la demande en vendant des services, tablant sur leur nom pour faire croire aux clients qu'ils figureront sur les rayons des (pauvres) maisons de la presse de France et de Navarre, vous pouvez envisager de signer. Bientôt dans les boutiques de gares trônera une machine à imprimer les livres à la minute ou presque et comme le client sera perdu on lui suggèrera une liste de best-sellers ou de livres libres de droits (qui rapportent à l'éditeur), il faudra vraiment savoir que votre livre , dont le titre et le nom de l'auteur devront être exacts , ou l'ISBN dûment noté, est imprimable via ce réseau pour l'acheter. Qu'est-ce que ça va changer pour vous par rapport à l'avalanche de titres générés par l'impression à la demande et la numérisation, rien. C'est pourquoi, face à ceux qui visent un hypothétique marché planétaire, il peut être intéressant de résister par une implication de l'auteur dans le devenir de son oeuvre. Nous serons présents dans plusieurs grandes manifestations cette année, et une que nous sommes en train de créer :) Autant d'occasions d'en discuter.
Je me répéterai une fois encore mais nul besoin d'éditeur. Internet nous offre la possibilité de travailler avec de nombreuses personnes aux compétences variées et pour des tarifs souvent accessibles. Il suffit d'investir un minimum dans son ouvrage (au moins pour une relecture et un graphiste pour la couverture), le reste est accessible à tous. La vente en librairie serait pleinement possible par une bonne réduction des frais de fabrication des ouvrages (quitte à commander un certain nombre de livres à l'imprimeur >50 par exemple). Cela devrait être le cheval de bataille de TBE pour 2010. TBE/reprocolor est une société solide et si mon fameux imprimeur lambda, déjà cité ailleurs sur ce forum, a la capacité de proposer un tarif me permettant de conserver une marge proche de 2 euros par ouvrage après déduction des 30 à 35% de marge des libraires pour une commande de 100 livres (port inclus), elle doit également être en mesure de le faire du moins si la demande est suffisante. C'est d'ailleurs ainsi que travaille plusieurs petites maisons d'édition (en commandant une quantité de l
Nous serons présents dans plusieurs grandes manifestations cette année, et une que nous sommes en train de créer :) Autant d'occasions d'en discuter.
Bonjour Annie
C'est bien zolie, les grandes manifestations, mais ça va encore se dérouler à Lutèce ou dans des villes ou la majorité d'entre nous ne pourra se rendre, en raison de l'éloignement. Les éditeurs, les salons, les manifestations = mêmes combats ! On tape là où il y a du people, les autres, paumés en Auvergne ou dans le Cantal, venez pas nous enquiquiner avec votre isolement.
Bah Martial ! Les auteurs, enfin pour ceusses que je connais dans le polar, n'ont point le sens des affaires, et encore moins celui de la rentabilité. Leurs éditeurs leurs offrent le billet de train, et ils se tapent les mauvais sandwitchs, et ce, pour vendre une dizaine de malheureux livres qui leur rapporteront un valeureux 6% payable en fin d'année.
On se demande ensuite pourquoi des profils de gens capables d'écrire de vrais polars, n'en écrivent pas justement : ben, c'est pour laisser la place à des profs ou des universitaires qui n'ont que ça à foutre..., suffit de jeter un oeil ( particuliérement aux salons dédiés polar ) aux photos d'après les agapes salonneuses, bonjour les looks et les tronches des mecs. C'est carrément la France d'avant 68, plus le rajout de quelques bobos plus jeunes.
C'est clair que taper 500 bornes dans le meilleur des cas ( l'autoédité devant y aller en bagnole, pour trimballer ses caisses de livres), et le tout pour fourguer une dizaine de bouquins, au tarif du litre d'essence : c'est carrément du bénévolat ! ( j'ai une copine chez MSF mieux payée que ça au fin fond de l'Afrique).
Soyons clair, l'auteur inconnu n'a aucune chance de vendre, ni sur le rayon d'un libraire ni sur un salon, et croyez moi comme bonimenteur professionnel, Novi fût un expert ! 7 ans de marchés forains, de la braderie de Paris au marchés prestigieux de ST Tropez. Novi a vendu des tapis d'orient à Brigitte Bardot et Eddie Barclay : oui Madame !
SI le plus beau souvenir de Novi : Paul Loup Sullitzer sur la braderie de Paris. Il est arrivé vers 15 heures, seul et magnifique. Il a installé tranquillement sa chaise, sa table de camping, et ses livres; le tout en costume cravate d'une élégance rare. D'ailleurs tout suintait l'élégance chez cet homme, ses maniéres, son sourire lointain qui enrobait la salle non point du mépris ou de la condescendance méritée, mais d'une bienveillance amusée. La braderie de Paris, ce cloaque fait d'une populo minable venue se faire arnaquer par les requins du Sentier, et lui l'auteur qu'on disait pipole, fréquentant les vedettes de l'année. Les gens passaient impressionnés par l'homme à la tête de Sphynx qui regardait impassible, mais avec une douce attention. On devinait que cet homme aurait pu dire la messe, qu'on l'aurait écouté. De temps en temps, une femme souvent, s'approchait timidement, et d'une main tranquille : il signait une couverture.
C'était étrange ce contraste des lieux, cet affreux hangar, et de l'écrivain dans son humble nudité.
Ce salon durera 2 jours, en plein centre de la France, et les auteurs venant de loin seront logés et nourris par la commune. Il s'adressera à tous les auteurs, graphistes et petits éditeurs utilisant l'impression numérique. De nombreuses occasions d'apprendre des choses et de rencontrer des gens vous seront données. Ce sera au début du 2ème semestre 2010. En attendant, outre Angoulême fin janvier, il y aura les salons de Paris et de Bruxelles et sans doute d'autres. Brive me semble incontournable, St Malo intéressant, les Journées de l'Histoire de Blois, pourquoi pas ? Pour ma part je ne serai au Salon du Livre de Paris que le vendredi et le samedi parce que le dimanche je suis attendue à la Journée du livre de St Martin de Jussac en Haute-Vienne, que je ne manquerais pour un empire. Je pense rester plus longtemps à Bruxelles.
Bonjour Annie, pouvez-vous me dire de quel salon il s'agit. Merci. Je profite de ce mail pour vous présenter tous mes voeux pour 2010. Cordialement Edmonde
Chers amis, je ne puis rien dire de plus, c'est un salon que je monte avec des amis auto-édités. Sachez que seuls les livres auto-édités en impression à la demande et les micro-éditeurs utilisant l'impression à la demande y seront conviés. Il s'agit en effet d'un salon sur l'impression numérique à la demande. L'accord de la ville est obtenu, reste à fixer la date. Nous pensons à septembre mais nous devons d'abord nous réunir autour d'un solide repas limousin avant de nous mettre d'accord Oui, Poitou-Charentes et Limousin n'ont pas peur de mélanger leurs identités régionales... Entre côtes de boeuf et cognac, donc (avec modération). Ce sera dans la Haute-Vienne (87) Je vous préviendrai en temps utile. Par contre en 2010 ce ne sont pas les salons qui vont manquer. On en reparlera.
Ah, et tous mes voeux également, Synovie. Que les auteurs nous donnent chaque année un peu plus la joie de les lire et de constater leurs progrès :) Merci à tous ceux qui agissent en ce sens. Gardez la santé et l'envie de faire.
je suis vraiment intéressée par ce salon d'autant plus que je suis de poitou charente. Septembre ? c'est une bonne date. Cela m'a l'air vraiment sympa et je remplis les conditions donc pas de soucis. J'espère qu'on pourra être nombreux, ce serait bien.
Par ailleurs, les auteurs intéressés par la Journée du Livre de Saint Martin de Jussac (87) le 29 mars doivent se dépêcher de m'écrire, je leur transmettrai les coordonnées de Bethy Lecoeur qui l'organise. Thème : le Limousin, mais aussi la ruralité dans son ensemble. Il est demandé une petite participation au repas pour ce salon.