Désolé de répéter mon sujet mais j'ai l'impression que l'intitulé du premier n'avait pas fait se lever les foules ... Alors que mon roman vous ferait probablement sourire à de nombreuses reprises. N'hésitez pas à aller lire l'extrait de mon dernier roman 'Le jour où j'ai passé l'arme à droite'
Si vous aimez rire, les quiproquos, les duos déséquilibrés, les situations improbables, les contraintes d'écriture qui amusent l'écrivain et titille les méninges du lecteur, vous aimerez mes livres !!!!
Six ans après 'Nègre de mendiants' Voici le résumé de mon nouveau roman : 'Le jour où j'ai passé l'arme à droite' :
Orphelin, Anton Buridan a passé sa jeunesse dans un foyer d'accueil où il s'isolait souvent dans la bibliothèque. Il a réussi sa scolarité et mène une carrière brillante.
Anton Buridan est maintenant un homme de 46 ans. Il considère qu'à cet âge, il a vécu la moitié de sa vie. Solitaire à l'esprit cartésien, il décide de casser sa routine en tentant des expériences insolites.
Il signe un contrat de self-kidnapping afin de se faire enlever par surprise dans l'année qui suivra cette signature. Deux jours plus tard, il aura déjà oublié cet engagement.
Il signe un contrat pour définir clairement le déroulement de ses funérailles. Il répète même son enterrement. La prestation est conforme à ses attentes mais la personnalité du gérant des pompes funèbres n'inspire pas confiance à Anton Buridan. Il se lance alors dans une farce grotesque en simulant sa mort pour s'assurer du respect de ses dernières volontés.
Mais Anton avait prévu une cérémonie funèbre en catimini. Mais Anton ne maîtrise pas les éléments extérieurs. Mais Anton a sous-estimé la gaucherie et l'amateurisme des employés des pompes funèbres.
De son côté, Allister Barnabul, jeune montpelliérain à la coupe mulet, a trouvé du réconfort en achetant un parasol bleu sarcelle, une couleur qu'il adore.