Je viens de m'apercevoir que je n'avais pas présenté le tome 2 de ma trilogie. Je répare donc cet oubli en vous proposant le résumé, tout d'abord, puis dans un second post, un premier extrait.
L'ombre et la lumière T2 : le prix de la liberté
Se battre pour la liberté de tout un peuple, tel est le credo des résistants
Près d'un an après le vol du prototype de vaisseau apien, c'est à une guerre des nerfs que se livrent désormais les résistants. Leur but : obtenir la levée générale de l'esclavage pour les humains de Ape. Malheureusement, et malgré l'émergence d'un mouvement pro-humain de plus en plus actif, le gouvernement apien refuse de se laisser fléchir et entraîne les deux camps dans une surenchère inquiétante. Jusqu'à quand le gouvernement apien s'entêtera-t-il ? Jusqu'où la Résistance ira-t-elle ? Quel prix les humains devront-ils payer pour leur liberté ?
Re ! Comme promis, tout de suite, un premier extrait. Il s'agit d'un extrait du chapitre 2, où les résistants planifient une première attaque sur Ape.
<< « Ce n'est pas du tout ce que j'ai en tête lorsque je pense à une action commando », fit le Général Yim, le responsable des commandos, avec une moue dédaigneuse.
L'ingénieur Aykon venait de présenter son idée à l'Etat-Major. La réaction des militaires purs souches était prévisible.
« Je trouve l'idée plaisante, moi, contredit le Colonel Kelko, responsable de la coordination tactique. Histoire de rappeler aux apiens que nous existons et qu'ils doivent composer avec nous.
Pas mal du tout. J'aime beaucoup la SF. Je vous conseillerai de mettre un extrait sur le site www.monbestseller.com. Bon, on va encore penser que je bosse pour eux, mais non, je l'ai fait et depuis, la notoriété de mon roman a progressé. Bon, inconvénient, si on veut avoir accès à toutes les possibilités qu'offre ce site (par exemple afficher sa couverture), il faut payer. Mais je vous laisse seule juge. En attendant, continuez !
Bonjour à tous ! Tout de suite, un deuxième extrait. Opération commando, attention : danger !
<< Les apiens n'avaient toujours pas compris que les résistants avaient un niveau technologique équivalant au leur, aussi continuaient-ils à utiliser des moyens inefficaces pour sécuriser les barrières climatiques. Cependant, les commandos étaient conscients
Bonjour à tous ! Un troisième extrait ? Allez ! où Kali saute à pied joint dans l'illégalité
<< Kali était vaguement inquiète. L'après-midi touchait à sa fin, elle ignorait combien de temps elle serait absente, et elle ne voulait pas laisser Orya à la garde de Kenya pour ne pas priver la jeune femme de sa soirée. Elle avait vaguement pensé confier l'enfant à ses grand-parents, mais, outre qu'elle ne désirait pas impliquer le reste de sa famille dans ce qu'elle s'apprêtait à faire, Orya avait été impossible toute la journée, et elle semblait bien décidée à ne pas octroyer à sa mère une minute de répit. La apienne était surprise. La petite ne s'était jamais comportée de la sorte, elle était plutôt mignonne, habituellement, bien que vive et toujours prête à aller toucher à tout. Kali ne voulait pas la laisser, mais elle craignait de l'entraîner dans une aventure dangereuse : personne ne pouvait garantir que les humains d'Ermalka seraient tous cordiaux à l'égard d'une noble apienne. Comme elle se faisait cette réflexion, Orya la regarda droit dans les yeux avec une telle intensité que Kali en fut surprise et presque effrayée. Alors elle céda. Prenant la petite dans ses bras, elle la câlina et lui murmura à l'oreille : « Tu viens avec moi, ma chérie, maman ne te laissera pas, c'est promis. » Pour toute réponse, Orya se blottit contre sa mère, son vibrato émettant toute la joie du monde. La apienne posa l'enfant et entreprit de charger dans le coffre de l'airwaver quelques cartons de vêtements et de fournitures diverses. La Cinquième Colonne avait en effet décidé de déguiser le déplacement en mouvement de bienfaisance. Six apiens se retrouvant la même soirée dans le quartier humain de Wanaly, cela serait suspect, aussi leur fallait-il une bonne raison, et quoi de mieux qui d'apporter des produits de première nécessité ? Kali et Mani Carol s'étaient donné rendez-vous à Ionim, en bordure du marché. Il était convenu que Mani Carol vienne en aérobus et que Kali la prenne au passage, pour éviter un rassemblement d'airwavers rutilants dans Ermalka. Les deux apiennes se saluèrent brièvement et Mani Carol embarqua. Si le coeur de Kali battait la chamade, et qu'elle avait toutes les peines à contenir son vibrato, ce n'était pas le cas de sa compagne. Cela faisait déjà plusieurs années que la noble avait intégré la Cinquième Colonne, et elle n'en était pas à sa première mission