Je viens vous présenter mon premier livre intitulé Le libéralisme comme volonté et comme représentation - Démontage d'une mythologie politique contemporaine, essai pamphlétaire de cent-vingt pages dans lequel je traite de la question des rapports entre l'extrême gauche française contemporaine et le libéralisme. Les thèses que j'y développe sont assez proches de celles des philosophes Jean-Claude Michéa (par ailleurs dédicataire de l'ouvrage), Dany-Robert Dufour ou encore Michel Clouscard, et pourraient être synthétisées de la manière suivante : le libéralisme, en tant que programme philosophique global (politique, économique, anthropologique, éthique, psychique, etc.), emprunte dans le corpus idéologique de l'extrême gauche (libéralisation des moeurs, lutte contre les discriminations, destitution des figures de l'autorité et du symbolique, etc.) les conditions modernes de sa propre expansion. Un extrait :
[quote]L'une des confusions habituelles de l'extrême gauche contemporaine
salut mec, juste pour te dire que ta merde sert absolument à rien. Y a des tonnes de bouquins qui ont déjà traité du sujet, c'est comme si tu nous parlais du romantisme quoi. Bref, t'es trop jeune et trop con (t'es en thèse !) pour te rendre compte de l'inanité de tes travaux. Je vais pas lire ton torche cul, je m'en branle de savoir si c'est bien écrit ou pas. La seule chose que je peux te dire, c'est que t'as vraiment choisi la mauvaise voie. La philo, la socio, les sciences humaines en générale sont bonnes pour les chiottes. Tout a déjà été écrit, il faut maintenant agir, car le libéralisme ira de toute manière jusqu'au bout de sa logique. Arrête de faire le pédé, lâche ton stylo et joue des poings. Tant qu'à parler du libéralisme, y a une chose à faire : c'est faire le rapprochement avec la question juive. Un des seuls qui a les couilles de le faire, c'est Soral. Ton Michéa, Todd et autres sous-merdes ne valent pas un clou. Clouscard, un pionnier, un grand homme. Il a bénéficié de son époque. Un conseil, remballe tes conneries, t'es plus insignifiant qu'un pet d'âne.
Salut Jerome Falsh! Je ne me fais pas l'avocat de l'auteur de l'ouvrage intitulé 'Le Liberalisme comme volonté. ..etc. Je ne me fais pas aussi une plaidoirie, mais je trouve que votre commentaire face à l'auteur est dégoutant et même impertinent. En lisant l'extrait posté par celui-ci, j'ai vite compris que son ouvrage ferait évidemment une superbe thèse de soutenance de mémoire. Cependant, en lisant votre commentaire, je réalise que vous me découragez à lire l'auteur. Je ne sais pas encore si vous connaissiez l'auteur en personne puisque vous l'appelez Mec! Vous dites que vous n'allez même pas lire l'auteur; question de savoir si le livre est bien écrit ou pas? C'est pas du nouveau, c'est déjà dit! Et bien d'autres encore. Je le trouve ridicule et même ironique de votre part. Je me demande si vous étiez dans votre bon sens en écrivant celui-ci ou du moins vous avez quelque chose personnelle contre l'auteur? Comment critiquer un auteur si vous ne voulez pas lire son oeuvre? D'où proviennent vos critiques? Sur quel fondement critiquez-vous? Je vous fais pas la morale, mais on m'a appris: 'Celui qui veut se faire un nom dans la litterature n'a qu'à apporter quelque chose de nouveau ou imiter quelque chose d'ancien '. Le plagiat c'est ce qui est mauvais! Mais l'imitation est meilleure! Un écrivain qui ose dire qu'il n'imite jamais et qu'il est en profondeur original est un fiéfié menteur. On est imitateur de la nature mais non son esclave! La science est universelle! D'autre en plus, un écrivain est libre de ses pensées, il ne faut pas le juger de ses pensées mais les circonstances qui l'ont poussées. Vous détruisez l'auteur du Liberalisme par vos propos in-humains. Un peu d'élégance à vous, vous en feriez mieux. Un peu de courtoisie il nous faut. ..!!! Ne tuer pas un auteur, mais tuer plutot les circonstances. ...
Quel plaisir de lire ce monsieur Falsch ! La bêtise, parfois, est rafraîchissante. Tant de nullité frise le génie. On en redemande. PS : en allemand, 'faslch' signifie 'mal'. Tout un programme.