Eh ben, chuis vraiment content que t'as aimu et même que chuis t'ému aussi en lisant ton commentaire. J'avais toujours caressé -en tout bien tout honneur- l'espoir qu'on compare un jour ma prose avec des cacahuètes: c'est chose faite. :) Y pleut comme vache qui pleure en lisant 'Les hauts de Hurlevent' mais me v'là tout ensoleillé de la tête pour la journée. Merci. :)
Hé bé, y a pas de quoi pour la complimentation, l'ami ! C'est gratoche et sincère... et vu le temps que j'ai mis à acquérir l'oeuvre... (et en plus, j'avais même pas vu qu'elle était en vedette sur le site TBE, dis-donc: bravo !) Sur ces belles paroles, je m'en vais m'en siffler une même pas belge à la santé, la gloire et les tirages scandaleux de nos oeuvres respectives, tchin !
Tchin (en retard): aux femmes et aux chevaux que notre gloire immortelle fait se presser sur le pas de notre porte (les chevaux) et augmenter nos gains -déjà faramineux grâce à nos livres- sur les champs de courses (les femmes).