Un de mes premiers mots à propos de ce livre de Christophe Luquiau a été : morbide. Bon... je vais tenter de me rattraper. Terrible. Partition. (Oui, comme de musique. Je me comprends, merci.) Machiavélique. Et il faut noter : Post vitam =/= post mortem. On se comprends. En fait, je crois que seul mon cerveau ne voulait pas comprendre. Jusqu'à... s'était écrit Anne. Jusqu'à cette grosse baffe que j'ai prise par la figure. A cet instant, j'ai posé le bouquin et ça s'est mis à cogiter là-haut. Ce qu'on ressent, ce qu'on voit, ce qu'on pense et tout et tout, ça n'a plus vraiment de sens l'espace d'un instant. Comme le reste. Rien n'a de sens en fait, c'est ça? Voyez, ça cogite toujours... Z'avez vu, j'arrive même à avoir un vocablaire presque correct et compréhensible. Enfin, j'essaye hein, parce que la jeunesse, vous comprenez (c'est sûr)... Enfin bref, je ne suis certainement pas au niveau pour bien parler de votre livre comme il faudrait pourtant que j'en parle, alors je me tais, et m'incline...
Une lecture agréable ma foi, et aucune zone d'ombre à souligner ! L'intrigue est rondement menée, aucun problème... Bonne continuation à vous, et bonne soirée