L'homme ne soumet pas la Nature : A lui de composer avec celle-ci. Croire possible de la vaincre est imposture : Elle s'impose toujours, à vive allure ! L'homme ne l'a jamais admis.
Ce n'est pas faute d'avoir été prévenus : La Nature prend toute sa place. Nos convoitises la laissent de glace. L'homme, lui, se croit bien au-dessus !
Encore deux poèmes plein de sagesse. Fais attention en voyageant dans l'éternité de ne pas être engloutie dans un trou noir. SOURIRE. La poésie te vas à merveille comme un gant, si tant est qu'un chat en mette à ses pattes, en risquant de faire des calipettes sur la poudreuse. MDR (Sois prudente : reste sur les pistes balisées) Tu vas nous revenir les poils tous grillés avec le soleil qui tape fort là-haut. En tout cas, merci pour ces beaux poèmes qui appelent une belle illustration pour les enfants. Penses-y car les voies du seigneur s'ouvrent pour toi : regarde le mail que je t'ai envoyé. Bisous Bessansséholéholé. Alex et Sarah qui te donne le bonjour.
Bon, puisque tu m'annonces- as-tu seulement consulté les astres ? (hein ? sourire) ou du moins les Dieux ?- un avenir sinon rieur, du moins ... à suivre, j'ai- provisoirement- remis à plus tard mon voyage intersidéral vers Andromède ! Les trous noirs sont pourtant à étudier et le sont, mais ... de loin !!
J'ai bien sûr lu ton email qui me met du baume au coeur.
Il y a un hic Dans l'histoire Du Big Bang ! Pas facile à voir Le boson de Higgs !
J'ai cru comprendre, Sauf à me méprendre, Que ce boson divin Ou 'main de Dieu', Confère la masse aux particules. L'ignorer s'rait ridicule. Vers lui vont tous les yeux. Mais à ce jour on ne l'atteint.
Boson de Higgs serait derrière L'origine de toute matière, Donc, de l'Univers.
Si je m'en tiens à notre Albert, Puisque E=mc² Ne serait-ce pas l'énergie folle du début Liée à vitesse de la lumière Qui aurait engendré la matière ?
Le ridicule ne tue pas. Mais enfin là, je n'en peux plus !
De plus en plus fort. Bravo pour tes connaissances mises en vers. Comme quoi, science et poésie peuvent se conjuguer ensemble comme l'avait déjà fait notre grand Fontenelle avec Madame de la Sablière. Hi, hi, SOURIRE ENCHANTERESSE.
Ravie du compliment dont je rosis mais ... je n'en suis pas là ! (sourire). J'eusse aimé pouvoir tenir salon et recevoir des esprits éclairés pour ... me nourrir l'esprit et éclairer ma vie ! ... Dans la lignée des recherches actuelles sur les traces du fameux 'boson de Hioggs' par exemple, on pourrait reprendre cette citation de Fontenelle : '«Toutes les sciences ont leur chimère, après laquelle elles courent, sans la pouvoir attraper ; mais elles attrapent en chemin d'autres connaissances fort utiles.» (Extrait d' Artémise)
Pour changer de thème quelques mots nostalgiques sur Bessans :
Quitter Bessans
Cafard, Depuis hier soir, Car ce matin, C'est la fin du séjour, Il faut repartir De ce bourg, Emplie de souvenirs de ces beaux jours, Sur ce plateau si haut, Encastré entre les Tierce, Albaron Charbonel et Bessannaise, Il prend toutes ses aises.
Montagnes dressées sous un ciel si bleu Qu'on ose à peine y croire : Venez les voir ! Drapées de neige scintillante, Tissées de mélèzes souriants, Habitées de chamois si discrets, Bessans enchante, On en part à regret !
Un bon bol d'oxygène bien mérité avant le grand 'far niente' à venir du début 2011. Merci pour ta carte de Bessans. Tu as probablement fait de belles promenades dans ce joli village bien enneigé. Cela fait le plus grand bien de changer de cadre de vie de temps en temps. Je vois que tu n'as pas perdu la main pour tes dessins très sympa. Gros bisous de nous deux. Alex et Sarah
j'avoue que l'air de la montagne fut excellent. J'ai sillonné le long plateau de Bessans dans tous les sens, fait plus de 200 photos, et revenais en fin d'après-midi, complètement vannée mais heureuse de toutes les belles choses vues et emmagasinées en moi : le bleu fou du ciel au-dessus des sommets virginaux, les châtons de soie argentée sur les jeunes branches rousses des arbustes lançant leurs jeunes pousses vers le ciel, les traces diverses d'animaux ayant déambulé sur la neige, les stalactiques s'allongeant au soleil et reglacées dès le lendemain scintillantes à nouveau sous le soleil !!! Et ces champs de neige, ces immenses pistes et sentiers piétons longeant parfois de vieilles chapelles ou anciennes maisons de pierres aux toits de lauzes. Que de beauté ! ........... Il faudrait y revenir en été. Lors de mes promenades j'ai pu parler avec plusieurs personnes. Elles sont formelles : l'été ici est splendide ! Champs de fleurs, cascades, le cours de l'Arc, ...
Je suis sûre que tu aimerais Bessans, et Sarah aussi !
En attendant voici un tout petit poème :
RACONTE
Ecriture, prends-moi ! Raconte leur, toi, Comment ça s'est passé. Comment, petit à petit, Elle a grandi, Tant cru et tant aimé, Prié à genoux près du lit, Pleuré, sans bruit, la nuit, Essayé des pirouettes Pour se dire que sa vie était chouette. Brûlée d'indifférence, A retrouvé la transparence.
Gentil ce toutou, n'est-ce pas ? Imagine-le dans la salle d'un café au charme fou d'antan : les chaises étaient montées sur les tables car lorsque je suis rentrée dans le café la patronne passait la serpillière. J'ai donc sali avec mes après-ski et cela m'ennuyait. J'avais beaucoup de temps, attendant le car reliant Bessans à Modane où j'allais prendre un train pour Lyon. J'avais le cafard de quitter ce bel endroit, ces gens, ce décor, tout de Bessans. Sont alors arrivés à tour de rôle- pour me remonter le moral, sûrement !- un tout petit chien 'taille-crayon' que j'ai entendu se faire appeler 'Filou'. IL est venu directement vers moi, a flairé mes pieds et valises. J'ai voulu le caresser mais fiérot et ayant l'air très affairé il ne s'est pas laissé faire, le coquin ! Puis est arrivé un plus grand chien, plus calme et aux gands yeux doux comme je les aime, comme un peu embués de bonté ! IL est venu vers moi aussi et lui s'est laissé caresser. Il m'a même léché les mains. J'étais bien. Ce chien était une chienne et s'appelait : 'Belle' ! Elle s'est alors allongée un court instant sur le sol frais lessivé, le museau à plat en avant, et j'ai commencé à la 'croquer'. Elle est partie bien avant que j'eusse tout fini, mais son souvenir était en moi et je l'ai 'terminée'. Avant de partir j'ai montré le dessin à la patronne qui m'a félicitée, m'assurant qu'il était bien ressemblant. J'étais contente de moi. (sourire)
Bon courage pour toutes tes illustrations de livres, chère Missette ! Bisous,
C'est sûr que Bessans avec ses grandes étendues nous plairait à tous les deux et je vois bien Sarah jouer un air de guitare toute emmitouflée avec des gants de peau. hi,hi SOURIRE Tes poèmes sont toujours aussi émouvants. L'écriture avec les sentiments suggérés entre le vide des caractères me montrent combien ton coeur a été malmené au cours de ton existence, où je perçois toutefois, une certaine dose d'espérance, une petite lumière intérieure qui finira tôt ou tard par embellir l'ensemble de ton être et de ton charmant visage.
Effectivement si un jour- ce que je vous souhaite- vous venez à Bessans, en hiver- même la 1ere quinzaine de mars- 'il faudra bien vous couvrir' (emprunté à la chanson de Petit papa Noël- sourire) car la t° y reste fraîche voire encore glaciale à cette altitude. Nous avons eu aux alentours de - 15°/- 18° la nuit et le matin vers 10h nous avions couramment -8°/- 9° avec une t° de neige de -14°. Donc si les mouffles empêcheront Sarah de jouer de la guitare ils lui seront bien utiles lors de vos grandes balades (cette fois je ne me suis pas trompée : balade/prromenade avec un seul L- eh ! eh ! je l'ai appris sur le forum grâce à Tobir ! - sourire).
Quant à mon espérance, cher Otto, c'est de conserver dans mon coeur, toujours et quoiqu'il arrive, cette dose d'amour, de chaleur et de possibilité de continuer à pouvoir m'émerveiller, qui aide tant à vivre ! Si plus : tant mieux !
Comme tu peux le voir, ce soir, mon ordi s'est assagi. Il a consenti- après de nombreuses tentatives- à me donner les mails cachés dans les tuyaux ! Une fois ceux-ci régurgités, tout va bien : la preuve, je peux aller sur internet. Quel bien-être ! Tiens, voilà un petit poème pour mon ami a coeur de silice :
PRIERE A ORDI
O Grand Ordi Je t'en prie, Sois gentil, Donne-moi Encore une fois Mes messages reçus, Toi qui en es si repu !
O Grand Ordi, Pardonne-moi Si je n'ai pas Pris l'abonnement, Aux mises à jour, payant, Tu me l'as pourtant Maintes fois suggéré Dans ta grande sagesse Pour mon plus grand Bien Moi qui ne connais pas les prouesses Du grand Informaticien !
C'est pourquoi, O Grand Ordi, Dis un mot Et je serai ... guérie !!!
Mycha (Nantes, le 18/03/2010)
Bisousprintanniers à mes amis Alex et Sarah, Mycha ;-)
Tout ce coin de Bessans paraît bien 'frigorifique' pour nous, malgré son cadre merveilleux. J'attends ton mail, puisque tout semble rentrer dans l'ordre de l'ordination des mails ! Dans toute cette histoire de silicium, tes mails ressortirons purifiés... hi, hi SOURIRE Gros bisous d'Alex
Purificatum à tous les lecteurs 'assidus' de ce post !
Purifiez-vous mes frères, les Temps l'exigent, enfin, ... je veux dire... purifier vos mails, emails, messages et autres moyens de com ! Que l'esprit du Grand Ordi soit avec vous ! Il en est de même pour toi, mon ami Otto- qui, ltoi aussi, a connu les affres de l'impureté informatique ! Le froid est un moyen de purification, cher ami. La nature glaciale a quelque chose de tellement surhumain qu'elle nous attire justement par cet aspect si dur mais si beau ! Non ???^^^^ Bon, remets tes chaussettes, ton bonnet, tes gants et ta doudonne et arpente les blanches immensités. Tu m'en reparleras après (sourire). Un petit chocolat chaud pour faire passez tout ça ? Ou un vin chaud ? Pendant ce temps-là ......... le temps passe et... nous avec. Voici quelques mots :
DU TEMPS
Comment rallonger le Temps ? Le sais-tu, toi, petite Mina ? Toi qui, dormant si souvent, Tournes le dos au Temps.
Comment oublier le Temps ? Si ce n'est ... en le prenant ? Pourtant, pourtant, C'est bien lui qui s'en va, A chaque instant, Tout le temps !
Il nous dévore, Encore, et encore ! J'ai besoin de Temps : Reste encore !
En matière de 'purification', je préfère me livrer à des ébats sous la couette, en regardant la neige tomber derrière la vitre. MDR
Décidément, le temps te poursuis. Tout dépend comment nous le vivons. Personnellement, à mon niveau personnel j'ai plusieurs rytmes temporels qui viennent se synchroniser sur mon temps intérieur, soit dit en passant qui me font percevoir le temps comme des intertices de micro-temps à facettes multiples rentrant en correspondance entre eux. Difficile à expliquer. Pour avoir trop fréquenté Nerval, je pense que j'ai des notions des temps réunis en un autre plus exhaustif qui me permet d'échapper à trop cultiver 'un aspect nostalgique' que je n'ai pas en vérité, au plus profond de moi, quoiqu'il puisse en paraître dans mes ouvrages. C'est difficile à expliquer car c'est du vécu et je pense pouvoir préciser un peu cela en étant certes très réducteur que je ressens le temps dans plusieurs espaces parrallèles regroupés ou dégroupés suivant l'instant vécu. LA POESIE EN CE SENS donne accès à ces notions multiples DES TEMPS qui n'ont rien à voir avec celui de l'horloge, mais plutôt de la pendule avec son balancier... (Contraction, dilatation comme un coeur) Je ne sais pas trop si tu me suis dans mes élucubrations Aih, aih, tout cela est bien difficile à expliquer. Un jour j'en avait discuté avec une grande amie (Celle qui intervient dans le livre 'Au Tours de Chenonceau' et qui réapparaîtra dans une de mes futures nouvelles, qui restaurait des toiles dans des bâtiments et nous avions rédigés ensemble un petit mémoire sur tout cela. Je ne pense plus l'avoir car elle doit l'avoir gardé avec elle et il doit être loin, perdu quelque part en Australie... Y a-t-il de la nostalgie pour autant ? Non, la vie est ainsi faite de beaucoup d'hasard et de beaucoup d'incertitude quantique n'en déplaise à notre grand EINSTEIN. SOURIRE au chat qui se met en boule dans un temps circulaire, MAIS NON CLOS, plutôt un temps en spirale.Aih, aih. Allez à +