Tout cela est excellent, cher Otto ! Je pense que ça peut être une formule à retenir. Maintenant l'exécution doit être aussi bien que les autres existant déjà dans le commerce !!! ..........
Pour tout cela notre ami au coeur de silice (? -en tout cas je sais que ce n'est pas du silex !) nous rend de super services !
En attendant de réaliser mes grandes zoeuvres, voici un nouveau poème, pour toi et pour tous les autres :
CENT MOTS DIRE !
En un mot, Pas un mot de plus ! Sans maudire Dire les maux, A mots couverts, Pour éviter de prendre froid.
Aux grands maux, Les gros mots ! Maudit soit celui qui ne dit mot. Ca ne me dit rien qui vaille Ce mot là. Non, vraiment. Tous ces mots pour si peu !
Que cachent-ils donc leurs mots Dans leurs discours Qui tournent court ? Ah ! Qu'ils sont beaux, Articulés la main sur le coeur !
On nous en donne Des mots, à la tonne ! Venez, Mesdames et Messieurs, Je vais vous régaler de mots. Vous entendez comme ils sonnent ? Ils vont vous guérir De votre besoin d'espoir !
Pas compliquer de vous noyer Dans des histoires A boire debout, A mots tirés à coup d'épée, Vous étourdir De tous ces dires, Mais ... sans maudire !
Mycha (Nantes, le 08/02/2010) ------------------------------------
Un poème en suit un autre et c'est très bien comme cela. Maintenant, comme je te l'ai dit par email, il va te falloir écrire un recueil poétique loin des regards dans ton antre où la cornue de l'alchimiste fera venir lentement au grand jour le grand oeuvre, car la poésie, art suprême nécessite beaucoup de persévérance et de temps pour exprimer le plus profond de notre destinée humaine.
Toujours beaucoup de plaisir à te lire, ma chère muse
Et toute notre affection de nous deux. Alex et Sarah
C'est bon d'avoir ton soutien, Alex, et votre affection à tous les deux ! Je dois 'travailler' c'est certain et cela me fera le plus grand bien ! Surtout lorsque je serai en 'inactivité professionnelle'...
Tiens, une petite pensée :
INSUFFISANCE
Perpétuel sentiment d'insuffisance Tu marques toute mon existence !
Mycha (Nantes, le ..' j'chais pu') -------------------------------
C'est toujours un réel plaisir, de lire tes petits poèmes très féminins qui montrent ton côté charmant et très attentif aux autres. Tu as ajouté un dessin que je n'avais pas vu jusqu'à présent. Comment fais-tu pour l'inclure ? On vient d'arriver de la promenade et la mer est encore mauvaise. Elle projette des galets sur la route. Toute notre affection de nous deux.
Tu vas sur ImageShack et là tu vas faire un clic droit dans une fenêtre ce qui va ouvrir ton fichier images et ensuite tu vas sélectionner l'image que tu veux. Prendre soin de la dimensionner en fonction d'une visualisation sur un forum. Essaie déjà, on en reparlera ensuite.
Un poème- je ne sais plus si je l'ai déjà mis ici :
Un poème émouvant, poignant sur notre destinée et celle des êtres qui nous sont chers. Autant dire que j'ai aimé ton poème qui exprime avec des mots simples une sensibilité à fleur de peau qui me rappelle la charmante Anna De Noailles. Une poétesse qui m'a fait connaître mes premiers émois poétiques lorsque j'avais dix ans, et que je me réfugiais seul dans les soupentes du grenier lorsque le vent rugissait et que l'eau crépitait sur la toiture. Après sont venus Cros, Baudelaire, Apollinaire, Breton, Duprey et tous les autres...
Oui, j'ai oublié, merci pour comment insérer une photo. Les chats sont des personnages a eux tout seul et je comprends qu'ils t'apportent beaucoup d'instants de BONHEUR. Bisous chatouné. SOURIRE d'alex.
Waooh ! Merci, mon ami gentil- j'ai nommé : Otto !
Si je pouvais atteindre juste un peu de la grâce d'Anna de Noailles, ce serait merveilleux ! Sans doute que ce qui se sent profondément peut s'énoncer très simplement ...
Tu sais tu peux encore aller te réfugier dans ton grenier les jours de pluie (lorsque vous en avez, là-bàs dans le sud !). C'est magique un grenier. On y fait toujours plein de découvertes.
D'ailleurs, pas plus tard qu'hier soir, j'ai enfin pu accéder à mon grenier- enfin pu, car je n'y arrive plus toute seule, l'échelle étant difficile pour moi à faire descendre- voilà un détail qui va sûrement intéresser moulte personnes ! (sourire)- donc une personne amicale m'a permis d'y monter et ... j'y ai retrouvé des bottes fourrées que j'avais complètement oubliées !!! Pratique, moi qui part à la neige dans peu de temps !
La poésie doit pouvoir exprimer notre ... authenticité !
Je te cite : La poésie doit pouvoir exprimer notre ... authenticité !
Je partage totalement ton impression. Elle seule, bien plus que tous les romans réunis parle le langage de l'authenticité qui ne peut être exprimée qu'en quelques mots, en quelques phrases. C'est l'une des raisons pour lesquelles je donne ma préférence aux nouvelles par rapport au roman, ce qui ne m'empêche pas d'en avoir un en route. Il faut sortir l'essence des mots, faire vibrer chaque mot, chaque voyelle, ce que ne fait pas généralement le roman à l'exception des grands écrivains qui ne sont jamais très nombreux au fil des siècles. Et là, je rejoins en quelque sorte tes propos tenus il y a un certain temps : le roman d'amour peut-il encore nous apprendre quelque chose. Non, chez la majorité des écrivains qui n'ont pas d'étoffe. On le voit aujourd'hui avec tous ces petits romans narcissiques qui cachent bien souvent un manque d'imagination, un manque de talent et aucun style. Il est facile d'écrire avec deux et trois personnages, mais énormément difficile d'écrire en ayant une dizaine de personnages, voir beaucoup plus. Alors, OUI, le roman d'amour nous apprendra toujours beaucoup de choses chez les grands écrivains. Mais tout le monde n'est pas à notre époque Vargos LLosas, Carlos Fuentes, André BRINK. C'est la même chose qui existe entre la peinture et l'aquarelle ! Dans cette dernière technique tout se joue en UNE HEURE MAXIMUM et on n'a pas droit à la moindre erreur. En peinture on remet autant de couches que l'on veut ! Aujourd'hui le roman se porte mal, car il y a peu de grands auteurs qui ont du style et qui combine à la fois l'aspect philosophique et romancier comme Thomas MANN, voir Thomas BERNARD. Alors vive la poésie.
Vive la poésie ! J'aime t'entendre (eh ! oui ! je t'entends, méfie-toi, garnement (sourire)) parler ainsi. Alors, comme ça, tu as un roman 'en route' ? Ce ne sont pas les idées qui doivent te manquer. Peaufine ton histoire, cher ami, et donne nous un super roman à nous déchirer le coeur, nous traverser l'âme, nous laisser ... rêveur !
Voilà un autre poème malheureusement très 'vrai', très simple aussi : --------------------------------
Il est où mon papa ?
Maryline, Fausse copine, Recommence Sa tourmente, en cadence : « Il est où, ton papa ? Il fait quoi, ton papa ? »
Toute mon enfance, Et plus- car affinités- Perpétuelle souffrance Qu
que je n'arrive pas à faire venir dans ma ville pour y déambuler, le nez en l'air, faire du lèche-vitrine, puis aller déguster un bon chocolat chez 'La nouvelle Héloïse' en papotant de tout et de rien ! Hein ? Grr ! (sourire). Chère Missette, je sais que tu es un peu loin de Nantes. On dira donc que ceci explique cela. 'Circonstance atténuante, votre Honneur !' (sourire)
Tu sais, Missette, je n'ai pas encore lu ton si beau livre MAGIE ET TRISTESSE DU HAUT ATLAS, ni les autres d'ailleurs, achetés dernièrement. Il m'accompagnera donc avec CETTE ANNEE-LA de Raoul Ribot- je me sentirai moins seule !- à la montagne, la 2è semaine de mars.
Un poème où tu saignes ton âme d'enfant mise à nue. La vie est ainsi faite qu'elle nous ramène au temps fort de notre vécu. Faut-il remettre notre vie en scène ou la sublimer ? Chacun y apporte sa réponse personnelle pour essayer de se parfaire en cherchant cette authenticité qui nous obsède et qui occupe le devant de la scène dans les sentiments que l'on ressent vis-à-vis des êtres qui nous sont chers, à jamais disparus.
Bisous en gerbes efflorescentes à mon amie la poétesse MYCHA
que je n'arrive pas à faire venir dans ma ville pour y déambuler, le nez en l'air, faire du lèche-vitrine, puis aller déguster un bon chocolat chez 'La nouvelle Héloïse' en papotant de tout et de rien ! Hein ? Grr ! (sourire). Chère Missette, je sais que tu es un peu loin de Nantes. On dira donc que ceci explique cela. 'Circonstance atténuante, votre Honneur !' (sourire)'
************************** T'inquiète Mycha, je viendrai déambuler avec toi à Nantes !!!! On ne peut pas rester sur un 'échec' ??!! Puis tu me montreras la ville de mon enfance, telle que je ne l'ai jamais connue !!!
Je t'embrasse, Mycha, à bientôt. Prends soin de toi....