Amies, amis ! (en souhaitant qu'on en reste là: je laisse les éventuels ennemis à ceux que j'ai déjà, ça les occupera),
Depuis quelques temps déjà - guère plus d'un mois - j'ai eu l'outrecuidance de commettre sur ce site une production parodique qui, j'en suis heureux, commence à faire des afficionados et donc son petit bonhomme de chemin. Mais, un peu pris par l'émotion du lancement, quelques retouches nécessaires - je suis une remarquable brelle en informatique -, les fêtes de fin d'années, le champagne, la grippe A (d'Aubigné), mon premier million de ventes (euh, Tonton, pourquoi tu tousses ?), et toute cette sorte de choses, j'ai à mon grand dam négligé l'élémentaire politesse d'une présentation dans les règles de la courtoisie chevaleresque du bas Moyen-Age...
Or donc, il advint, gentes Dames et beaux Messieurs, que récemment je postai sur ce site un aimable divertissement inspiré non point de fabliaux du sus-cité Moyen-Age, mais de quelque héros un peu plus contemporain et régulièrement visible sur de grands écrans qu'on appelle cinéma (ou télé si ça fait moins de 140 cm de diagonale). Au début de ses aventures, le beau héros ténébreux, adepte du Martini Dry, avait eu, souvenez-vous, quelques démêlés avec un méchant Dr No. C'est curieux, le mien (de héros), plutôt adepte du pastaga, en a un paquet (de démêlés) avec l'ignoble Dr Yes...
Bon, vous avez pigé le système; je ne vous ferai pas l'affront de vous interroger sur le principe de la parodie ni de vous demander si vous avez capté ma source d'inspiration ! Aussi, je ne puis que vous remercier maintenant de l'intérêt que vous pourriez accorder à mon oeuvre... (ici, je place un révérence digne d'un courtisan aux pieds de la Reine d'Espagne, observez bien le geste).
Ah oui: question style, j'aurai pour modèle (en toute humilité bien sûr) le grandissime et insurpassable San Antonio. Que j'aimerais bien assaisonner, si possible et néanmoins, d'une touche d'humour british auquel je suis très attaché. Frédéric Dard portant chapeau melon: oui, ça pourrait bien être l'objectif ultime. Voilà.
Bon, je vous laisse maintenant apprécier, d'autant que vous avez sûrement vous aussi une bonne souplette en train de cramer.
A bientôt donc, et, par Toutatis, par Odin et par Odie, que Jean Bon vous fasse rire !
Votre dévoué,
Maïkole
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