Allez hop, une t'ite page de pub avant la publication prochaine (dans le courant du mois de janvier) de mon petit dernier. Après avoir sué sur deux aventures de Saratov abandonnées en cours (ça commençait à sentir le système) et une anthologie des 'grandes inventions' (dans le même esprit que '80 chefs d'oeuvres dans un livre idiot') abandonnée également, la bête a retrouvé l'inspiration avec ces 'Cent jours de Napoléon Brassart'. Il s'agit d'un récit que je compte publier dans la collection 'Erotisme'. Ouais mais, gaffe ! Que l'on ne s'attende pas à des draps soyeux, des boutons de rose en fleur et autres descriptions d'émois rougissants! C'est l'histoire, parfaitement absurde et traitée, comme d'hab, sur le mode de l'humour, du susnommé Napoléon Brassart.
J'vous fait le pitch en deux mots et six ou sept virgules, histoire de dompter l'impatience de mes trois fans et demi, dont je suis sûr qu'ils lisent ces lignes en bavant légèrement d'impatience:
Pour avoir regardé, sur une chaîne cryptée et sans avoir payé l'abonnement, des films n'ayant de rapport avec ceux d'Ingmar Bergman que le fait qu'ils sont parfois suédois, Napoléon Brassart reçoit, un soir, la visite du Génie du Câble. Cette espèce d'ectoplasme échappé des mille et une nuits, dont le rôle dans la vie consiste à punir sévèrement les ceusses qui se livrent à ce genre d'exercice sans avoir délié les cordons de leur bourse, pose à Napoléon un ultimatum pas piqué des hannetons: en guise de punition, le Napo devra, au cours des cent jours à venir, honorer 6.000 représentantes du beau sexe (pas une de plus, pas une de moins) faute de quoi le pauvre sera impitoyablement transformé en... bon, j'vais pas tout vous raconter non plus ! Tout ce que vous avez à savoir est que, à partir de ce moment, débute une invraissemblable course contre la montre et défilent, à un rythme hallucinant (forcément: 100 jours !), les partenaires les plus improbables.
Voili, voilou. La chose, donc, sera bientôt en ligne.
Ouiiiiiiiiiiiii!! J'ai hâte aussi!! Préviens-nous surtout hein! Je ne vais jamais m'en sortir moi, je viens de mettre tes 80 chefs d'oeuvre etc dans mon prochain panier percé et ppfff forcément, je vais avoir envie d'avoir le p'tit dernier aussi!!!
Je viens de finir les 80 chefs-d'oeuvre ! Merci infiniment cher Jean-Claude ! Maintenant je suis armée! Je vais pouvoir étaler ma culture et briller lors de conversations mondaines ou alors, avoir ..... la camisole ! Eclat de rire !
P..., j'ai pas vu les 8à chef d'oeuvres... en attendant, sois gentil mon cher ami, préviens moi par mail quand Napoléon sortira parce que, comme tu as pu le constater, je ne passe plus guère de temps sur TBE, mais suis toujours aussi fan du grand Mornard ! Bises à toi et ta wife, et tous mes voeux de bonheur, santé et prospérité pour cet année qui s'annonce !
Merci de vos z'encouragements, les filles (et Martial !)
Or donc, je te préviendrai par mail, Anne (et, en passant, si ce n'est déjà fait, tous mes souhaits- et ceux de ma wife, qui se fait rare sur ce forum- de bonne humeur et de bonne santé).
Ceci n'a rien à voir avec cela -quoique- mais, au final mon perso se nommera Napoléon BrIssart et non BrAssart (Comment ? Tout le monde s'en fiche ? Ben ouais) :)
La fin est trés gratté, des insultes détournées en version comique et c'est bien trouvé. Pas vulgaire, bien écrit, humour trés sympathique, tout est dedans, plus que la longue version.
Content que ça te plaise, Dandy. :) C'est un peu à l'image de toute l'histoire: ça part comme une grosse déconne, avec un personnage 'trop'. Mais, plus le mec avance dans sa 'punition', plus sa sensibilité remonte à la surface et il y a une autre atmosphère qui s'installe. :)
Je comprends, de la finesse sous le second degré. C'est bien écrit, ça sonne poétique et en plus dans ce genre, de l'écriture oser tout en donnant un sens, vraiment du talent.