ma montre indique vingt heure et de la poussière vieux,et faible,je ne vois personne je ne supporte plus le monde,qui a effacé mes souvenirs, même notre premiere fois les aiguilles se bloquent,c'est mon heure lentement je te dis aurevoir un triste signe de la tête je n'ai plus l'age des enfants, où les années paraissent des siècles la lumière s'estompe dans mes esprits j'ai l'age d'un diplodocus, où mes secondes sont les dernières mais je t'aime devant toi, devant moi ma montre indique minuit et de la poussière plus le temps de faire marche arrière je fais mon époque et celle ci s'achève, comme un mauvais hiver de novembre ici bas j'ai feint d'être aimer, alors que le vide se profilait lentement je te dis aurevoir un vague signe de la main ridé,creusé, elle tremble sur la feuille je suis une feuille qu'un type de la ville ramasse ou qu'une bonne femme,La Mort,saisis pour me réduire en cendre nous réduire ensemble,c'était mon seul souhait je n'ai plus l'age des enfants,où les rires sont les souffles de la vie la ligne pointille jusqu'à ce néant j'ai l 'age du marronnier de marc,où les bogues se font rare et je t'aime devant toi devant moi il est une heure de la nuit, et je ne connais plus les matins je renie les soleils, l'atmosphère m'indifère je ne sais plus comment faire aprés quoi on court? l'argent? l'amour ? j'ai fait le tour de la question, le tour de la terre et tu marches sur mes pas, lentement je suis un mégot de gitane,jeté sous une caravane,fumant encore pour quelques milli secondes un type de la ville balayera surement nous réduire ensemble, c'était ma seule prière je n'ai plus l'age des enfants,où courir est la seule raison ma jambe de bois, et ma gueule aussi j'ai l'age des étoiles de la grande ourse,et je clignote,pour le dernier noël j'écoute les histoires de coeur,mais ne connais plus l'histoire du mien j'ai connu la grosse pomme, et c'est moi qui ait pourri, bouffé par les vers alors qu'Elle demeure sous ces mille lumières,j'ai grillé ma dernière lampe j'ai connu la boulangère,mais c'est moi qui suit pétri, je suis enfariné à mort alors qu'elle reste sous ces pains aux chocolats et ses croissants de lune j'ai connu le chien de la voisine,mais c'est moi qui suit bourré,de tiques,de toc, mon obsession,ce manque de vision,j'ai perdu le sourire où j'ai perdu l'argent, l'amour j'ai connu pierre,paul et puis jacques,mais ce n'est pas moi ce trio, je m'efface à travers les jours et me vois partir à travers les néons,distingue même plus les derniers rayons j'ai connu un rayon,de 33tours, mais c'est moi qui s'en va,c'est moi le prochain sur la ligne des départs,voyage direct dans l'au dela au dela de ça, je ne sais pas même pas si l'on se retrouvera je n'ai plus l'age de souffler sur les bougies,je n'ai plus l'age de nettoyer la poussière,je la mords à mort.