Je suis tout à fait d'accord avec vous tous, les nombreuses fautes d'orthographe dans un texte sont rédhibitoires pour le lecteur.
Je suis tout à fait consciente que chaque auteur n'est pas à l'abri de coquilles et de fautes, c'est pour cela que la relecture est importante, car même en relisant plusieurs fois et en faisant relire, on trouve encore des fautes, pas des fautes grossières, mais tout de même et c'est rageant. Mais si l'on veut être sans reproche en tant que 'auteur auto-édité' il faut être vigilant.
Un écrit où je trouve plein de fautes (que ce soit d'orthographe de syntaxe ou autres) ne me donne pas l'envie de poursuivre ma lecture.
j'accepte vos remarques ms pa besoin d'insister j'ai pris conscience de mes fautes et fais tout faire pour rectifier mon manuscrit, etant donné que je suis en plein jeune de ramadan je me sui senti attaqué de toute part je m'excuse de m'etre emporter sur certains je pense qu'il fau élever le débat
J'ai lu ton intervention et je suis tout à fait d'accord avec toi. Le but n'est pas d'accabler les auteurs sur 'notre' site, mais effectivement de réagir lorsque l'on en ressent la motivation, surtout sur un sujet aussi brûlant que l'orthographe et la grammaire pour nous, auteurs auto-édités. Ton commentaire est constructif et je ne peux que t'approuver.
Bonjour, c'est vrai qu'écrire est un 'métier' au double sens du terme, un métier sur lequel il faut cent fois remettre son ouvrage, comme le disait Boileau, car sans une maîtrise des techniques nécessaires, toute idée, aussi talentueuse soit-elle, finit immanquablement par accoucher d'une éclatante médiocrité. Bonne journée à tous Cordialement Synovie
Le véritable lecteur, amateur de littérature, ne prendra même pas la peine de venir lire nos extraits, il ira directement chez Gallimard ! Cordialement Synovie
Synovie,Loula et quelques autres résument très bien ma pensée quant aux fautes d'orthographe,et de grammaire. Un auteur qui n'en a rien à faire non seulement nuit à son travail mais aussi aux camarades qui publient dans TBE dont la réputation est mise à mal. D'autre part refuser de corriger ses fautes est un manque de respect pour les lecteurs. Alors un peu d'amour propre ne ferait pas de mal. Raoul
Je pense qu'Abbachou a pris conscience du fait qu'il fallait corriger vu son dernier post. Je suis bien évidemment d'accord avec le fait d'offrir un livre impeccable pour le lecteur, c'est pourquoi la mien a été retiré 2 fois déjà pour corriger les coquilles restantes et que les lecteurs tests et moi-même n'avions pas vu. Quand à la présentation du livre, il est certain que si elle est soignée cela donne plus envie de le lire, mais si elle n'est qu'amateurisme, cela n'enlève rien à l'histoire. Ce n'est que mon avis. J'achète beaucoup sur TBE et je dois dire que je suis rarement déçue, toutefois un auteur, que je ne citerai pas, se permet de se complaire dans ses écrits existants. Du coup 50 fautes sur les dix premières pages. J'ai essayé de faire abstraction, mais entre les fautes flagrantes et le manque de maturité de l'écriture, j'ai refermé ce livre pour lequel je ne fais pas de pub. Donc pour finir, félicitation à Abbachou pour ce revirement et cette décision. A bientôt. Chris.
Parfois je vais voir au hasard et je suis souvent désagréablement surpris : interlignes énormes, marges comme des autoroutes... Bref je me rends compte que mon roman de 244 pages représente un Gallimard de 300 pages tandis que certains auto-édités TBE de 200 pages représentent un Gallimard de 50 (au prix d'un 200 pages évidemment). Donc, heureusement qu'on a les extraits pour apprécier le contenu réel de nos livres...
C'est une excellente question qui est posée là, et qui pourrait valablement nous emmener sur un débat vers une autre rubrique plus appropriée.
Outre le fait qu'il faille absolument que les auto-édités cessent de se considérer comme des amateurs, lorsque ce n'est pas du beautiful loser, et arrivent donc un jour à tenter d'aborder les choses non point en tant que sous-littérateur qui écrit pour ses amis, mais en tant que concurrent des écuries des Gallimachines.
18 euros un receuil de poémes qui fait 80 pages, c'est du foutage de gueule qui ridiculise l'auto-edition et offre donc raison à ses détracteurs qui s'en donne à coeur joie du coup (sans parler de mises en pages fantaisistes aussi ). C'était compréhensible dans les débuts du concept , mes propres errements d'auto-édité furent folklorique à ce niveau, mais aujourd'hui ,il y a suffisamment d'aide et d'exemple pour réaliser un ouvrage disons correct.
Après, nous arrivons au probléme des formats, sujet qui fache actuellement même chez les amateurs intégristes.
Pour des histoires de markéting débile (le marketing est souvent assez con pour tirer des balles dans les pieds des auteurs, le américains n'étant pas les derniers à ce jeu)...l'on est entré dans l'ére des pavés de 500 pages, puis même des 700.
Chez les nouveaux auteurs par exemple, ils se sont spécialisés dans la transformation d'un 250 pages en 500 par tous les moyens, mise en page, rajout, etc ....pour crédibiliser des ouvrages somme toute trés moyens, mais affichés dans les 18 euros - résultat, de nos jours, on récupére à suivre des format poche à 7 euros qui font aussi 500 pages - d'une laideur épouvantable d'un point de vue éditorial.
Pour des polardeux qui se revendiquent à l'ancienne comme moi et rejettent donc ces marchand du temple ( voir le salvateur article pondu par Thierry Marignac à ce sujet où il pourfend comme il convient toute cette merde - lien dispo chez Polarnoir ). Cela rajoute à la difficulté commercialement parlant, puisque d'une part : pour éditer chez TBE à 15 euros maxi, impossible de dépasser 250 pages et que d'autre part, 250 pages sont justement le bon format pour un polar qui se lit bien. N'en demeure pas moins qu'à 15 euros, faut qui soit inédit le truc pour concurrencer le 500 pages de chez Gallipette.
C'est ce combat dans lequel nous devons nous situer...
J'ai déjà remarqué ça aussi en lisant certains extraits. Contrairement à ceux qui veulent avoir le plus de page possible dans leur livre, moi j'en veux le moins avec une bonne mise en page cela va sans dire et un format d'écriture agréable. Je les fais en format poche sauf ma saga 'totale dévotion' qui fait plus de 400 pages par tome, j'ai choisi un plus grand format. Enfin voilà, c'était juste pour dire.
j'ai tenté d'emmener mon bouquin a la fnac c matin et on ma fai comprendre qu'il prenait 40 % sur le livre sachant qu'on avance le prix du livre c un dépot donc la marge est vraiment moindre, je vais tenter de le déposer ds une librairie la prochaine fois
Je ne jetterai pas de pavé dans la mare. Quelle pierre pourrai-je jeter le premier? Ce n'est pas avec ce que j'ai publié que je vais jouer les mentors!
Non, je viens juste apporter ma vision de lecteur. Les fautes sont horripilantes et repoussantes. Cela gène la lecture, agace. Quand le texte est bon, on continue la lecture mais on se dit à la fin 'C'est cher quand même pour un livre de cette qualité'. Par ce mot, on ne décrit pas le fonds mais la forme. C'est comme un gâteau dont l'enrobement ne fait pas envie: il a beau être bon, peu oseront aller y gouter.
Un livre se travaille en permanence, n'est jamais achevé. Même s'il faut s'arrêter à un moment ou à un autre, ce n'est pas parce qu'on va pouvoir, désormais, se reposer sur ses lauriers. Il y a toujours une envie de le rouvrir, de revoir certains passages qui vous titille.
Abachou peut au moins se rassurer en se disant que son livre fait parler de lui. C'est toujours mieux que le grand silence qui vous place dans une indécision qui se fait de plus en plus imposante.
Sans coquilles, immangeables, la nourriture de l'esprit est toujours meilleure.
pour répondre à abachou, essayer de mettre un des livres dans une librairie en dure est un leurre surtout si on dit qu'on est auto édité (les libraires n'aiment pas les auto édités et les refusent systématiquement) d'autre part, si on ne dit rien, juste que ce livre sort d'une imprimerie, pour moi, il est inutile de penser à ce genre de choses, la plupart des librairies prennent 30% sur un livre voir plus, sachant que mon prix global est de 20 euros, cela fait 6 euros et des brouettes dans leur poche, en clair : je toucherai même pas 14 euros, cela ne me rembourserait même pas le prix de fabrciation de mon livre qui est de 15 euros. J'ai abandonné l'idée de mettre mon livre en librairie depuis longtemps (comme la plupart des gens ici sauf ceux qui ont des ristournes via les libraires)
ce mati j'ai presenté mon bouquin a une librairie et le responsable m'a rétorquer qu'il ne vendai pa ce genre de chose ,que cela n'aura aucun intéret pr lui de le diffuser , personnage qui a srvolé mon livre et me la remis com si c'été de la mer... on va renoncer a la librairie de valence et le proposer a des médiatheque , bibliotheque, librairie locale je lache pa le steak rien a cirer...