Sans un regard, je te laisse sur le chemin, Visage informe, tu t'enfuis dans le lointain, Poison infâme ruisselant loin de cette plaie, Tu t'en vas avec tes armes, tes regrets.
Sur mon coeur a cessé le rideau de pluie, La flamme de mon âme l'a réchauffé. Le ciel de mes yeux s'est éclairci, Comme privé d'un bonheur oublié.
Les larmes de l'espoir , Ont dissipé le brouillard, Laissé partir le fantôme de ma mémoire, Libéré ,mon âme blessée, de ces chaînes, Elles qui m'empêchaient d'être sereine.
Parfois le doute me ronge, Il disparaîtra comme un songe, Cet amour doux et fort a triomphé, Les pleurs dans mes nuits ont cessé.
Ben, ça mérite d'être lu et relu ( ce que j'ai fait) un jour, je m'y pencherai de près promis. Mais il faut que je me conditionne, c'est vrai que la poésie ça fait tellement longtemps ? Je suis resté avec de vieux souvenirs (trop vieux peut être). Je plongerai un jour (proche), je plongerai !
mais plonge jean marc avec le masque, le tuba.....en tous les cas, ça faisait longtemps que j'avais pas mis d'extraits (euh oui longtemps ?) et ça fait plaisir de tel commentaire surtout de la part d'auteurs talentueux...