Certains beaux esprits prétendent que la Nouvelle serait à la littérature ce qu'est le Polar aux romans 'reconnus', c'est-à-dire un sous-produit. Foutaises !
La Nouvelle, et à plus forte raison, la nouvelette telle que la pratique Pascal Anrès, requiert plus d'invention, de précision, de concision que certains romans et, à mon sens, Pascal excèle dans chacune de ces spécialités. Cela se traduit par un style qui, débarassé de fioritures inutiles, va droit au but et amène la chute de façon abrupte et inatrendue. L'écriture est sans faille et, gâteau sur la cerise, Marseille, discrètement omniprésente, tient le premier rôle. Qui ne les a pas encore lues, les Nouvellettes Marseillaises ?...
Cher Albert-Robert, Que tes mots me touchent ! Je suis très fier de ta critique et te remercie sincèrement du soin et du temps que tu as pris pour la formuler... Ce que tu sais faire avec grand talent, les habitués du forum le savent bien ! Je m'en vais faire ma petite sieste, sourire aux lèvres, en cherchant de nouvelles idées pour concevoir un nouveau recueil qui ne te décoive pas ..... A très bientôt, cette fois c'est moi qui vais te lire !
C'est chose faite, du panier les Nouvellettes ont sauté sur mon compte en banque et vont finir leur voyage dans ma boîte aux lettres, que j'attends d'ouvrir avec hâte!!!