Le titre annonce le dénouement du plus grand de tous les drames : le grand architecte de l’univers a déterminé l’époque où la Terre doit finir. Le dernier des hommes va rendre son ultime soupir ; le globe est devenu stérile ; les hommes sont privés de la capacité de se reproduire. Il ne reste que deux individus à avoir conservé cette faculté : l’homme Omégare en Europe, la femme Sydérie en Amérique.
L’ouvrage, publié à titre posthume en 1805, est le précurseur de la littérature fantastique ; son sujet est absolument neuf pour l'époque. La seconde édition, publiée en 1811, fut accueillie par la critique comme d'une grande et étonnante conception d'esprit. Le dernier homme, chez The BookEdition