vampire rouges était ses lèvres, libre son allure,aussi jaune que l'or était sa chevelure, et sa peau de la lèpre avait l'éclat blafard, elle était la morte vivante des cauchemars, nu et allongé dans des draps blancs, elle était humaine parmi les enfants,elle était la,affaiblissant sa victime, appréciant chaque goutte ultime. le sang coulait le long de sa lèvre. une déesse elle-même ne serait rien, auprès de cette beauté trompeuse, une haine bien laideuse, se cache dans cette bête si malin, elle s'enivre.
se trémoussant dans les rues, parcourant des statues,réduis en cendre, la mort est venu lui prendre. car au soleil levant, ce monstre écoeurant, disparus du paradis, pour amortir en enfer.
Oui, Katie, je trouve ton texte très vif, touchant de grâce...mais...car il y a toujours un mais... Tout le monde me connaissant ici (ou presque, je ne suis pas une star non plus!:-), on me voit venir avec mes énormes sabots de normande!:-) Je disais donc, il y a toujours un mais...que j'inscris lorsque j'estime qu'un texte en vaut la peine (qui suis-je pour juger de la légitimité ou non d'un écrit? Juste une sensibilité, que de la subjectivité au fond...).
Bref, peux-tu me contacter en privé? Désolée pour le tutoiement, il m'échappe! moiflora30@yahoo.fr