Difficile à résumer. Disons que (en -très- gros) il s'agit d'un homme mûr qui raconte un épisode de sa jeunesse, survenu pendant un séjour au bord de la mer, en essayant de comprendre pourquoi ledit épisode - une histoire (d'amour?) banale et sans grand fracas- a été à ce point marquant pour lui. En élargissant le propos, c'est un peu le récit du passage à l'âge adulte... ce qu'on y perd (définitivement), ce qu'on y gagne (peut-être ?)
Je me rends compte que mon résumé n'est pas des plus clair, mais, vraiment, j'sais pas comment présenter ça autrement.
Voila l'extrait de la quatrième de couv' (vu que j'ai pas réussi à pondre un résumé qui me satisfasse). C'est sans doute pas beaucoup plus clair quant au contenu global mais ça peut donner une idée de l'ambiance.
De quoi ma vie serait-elle faite ? Qui ferait un bout de route avec moi ? Qui me lâcherait dans une côte ? Je me demandais quelle gueule aurait le futur. Et, en même temps, je ne voulais pas vraiment le savoir. Je voulais juste rester là, le cul dans le sable, à écouter le grondement de la mer, à regarder mourir la lune, à sentir la fraicheur du vent, à me laisser envelopper par la nuit. Seul avec le monde. Ancré dans cette minute. Forever. Mais je me suis rendu compte qu
Peut-être que le prologue est plus parlant (bien emmerdé, moi... c'est bien la première fois que j'arrive pas à donner l'idée d'une histoire en quelques mots: roll:)
Chacun sa mer. Pas de jaloux et les mouettes seront bien gardées. On la trimbale avec soi depuis qu
Inutile de te d'auto-flageller ainsi Jean-Claude, Chacun des mots que tu as écrit ici, dans le prologue, la 4ème de couv' ou le résumé...TOUS ont suscité de la curiosité en moi, de celle qui pique, mais pas amèrement, ou plutôt...de celle qui vous frôle, vous susurre 'allez...viens par ici, viens voir ce qui se cache derrière...', vraiment!
Alors, comme d'hab, c'est fait, je suis conquise, je crois qu'en fait (vu l'état des finances en ce moment!!), lorsque je vais ENFIN pouvoir me faire plaisir, un immense moment de bonheur à m'offrir, j'achèterai TOUS tes bouquins d'un coup, voilà, comme ça, ce sera fait, une bonne fois pour toutes! Là, je suis frustrée, réellement, sans exagération et sans volonté de te complimenter 'juste comme ça...' et j'ai hâte d'arriver à cet instant où je pourrai poser mon doigt sur la souris qui m'accompagne et me grignote chaque jour beaucoup de mon temps, pour faire un banal 'clic' qui me conduira vers le chemin du plaisir enfin assouvi!!
Mais, s'teuplaît, arrête d'être aussi prolixe, mon compte en banque ne va pas suivre à cette allure!:-)
Je n'ai pas mis le maillot de bain rouge comme les bimbos de Malibu. Je suis venu sur votre sable en pyjama et pieds nus, Ecouter les murmures des vagues de votre mer. Est-elle bleutée ? Comme l'est ma Méditerranée ? Elles doivent se ressembler ! Dans leurs abysses tant de marins ont fini de rêver.
J'aime la mer parceque sur son fil d'horizon... on peut par la pensée Vers d'autres cieux, s'évader !
Jean-Claude, je suis une fan de votre magistral coup de plume ! (Juste un petit détail 'adhérait', vous devriez mettre un verbe moins 'neutre', plus imagé comme 'poissait' ou qqch dans ce style
Merci de vos zavis zéclairés (pour 'poissait', j'y songerai, chère Edmonde). Quant à aller voir un éditeur pro... ma femme n'arrête pas de me le répéter. Mais je suis du genre 'jamais content' (et fragile comme un verre à pied sous mes dehors de grand fauve s'ébatant dans la savane). Pour ce qui concerne la prolixité... ben... je suis un hyper actif qui ne peut pas rester sans avoir un truc sur le feu. Et pis, bon...à quarante-cinq ans, j'ai bien évidemment de nombreux textes orphelins dans mes tiroirs...les sept livres n'ont pas tous été écrits au cours des deux dernier mois ! Pour Ombre L., c'est la mer du nord...du coup elle est plutôt couleur soupe que bleutée. Avec un ciel si bas que des canaux se perdent, des canards se pendent, des chanteurs chantent des trucs tristes et toutes ces sortes de choses.
Jean-Claude, vous devriez écouter les conseils avisés de votre femme. Qu'est-ce que vous risquez ? Un refus, et après ? On s'en remet, même si l'amour propre est un tantinet chatouillé par leur coup de plume ! Je suis payée pour le savoir puisque toutes mes 'oeuvres géniales' n'ont pas réussi à passer leurs fourches caudines ! Tant pis, je les em
7 ? J'en ai un et je viens d'en commander deux autres... M'en restent 4 si j'ai bien compris... Rhaaa ! L'a aucune pitié pour mon portefeuille cet olibrius. Cela dit, je penche en effet pour un essai chez des 'vrais' éditeurs... Un nouveau Frédéric dard serait-il sur le banc de touche ? Non que tu écrives comme lui, mais il sortait un livre par trimestre...
Faudra que je prenne mon courage par la peau du dos... un jour ou l'autre. Encore merci pour ces encouragements en tout cas (et, si Daniela- mon épouse- lit le forum, elle va encore mettre le turbo pour me pousser au derrière :lol:)
Eh bien moi je dis: 'Tous avec Daniela!!' :-))))) Les femmes ont bien souvent des idées lumineuses, la preuve par la tienne (oui, ça change un peu de la preuve par 3, 4 ou 9, je ne sais plus...:-)
Merci Edmonde, au compteur 1 adhérente, une! J'attends la suite, pas de côtisation demandée, offre spéciale 'Que vive l'écriture de Jean-Claude!', profitez-en!!
Anne, l'autre, celle qui...et plus encore...ou moins...enfin...la 2ème du nom quoi!
Et me v'la encore rouge comme un potiron en pyjama ! Merci-t-à toutes ! :roll: (entre parenthèses, je viens de recevoir mon exemplaire de 'Histoires drôlement horribles' et, comme de bien entendu, il restait des coquilles... du coup, le revoici en période de validation. Comme j'ai vu que quelques exemplaires de 'tranche de mer...' sont déjà partis, j'espère - pour les braves entre les braves qui se sont fendus d'acheter la chose- ne pas découvrir sept tonnes de coquilles quand je lirai la version papier. )
J'attends mon exemplaire de mon roman aussi, et expédié vendredi, il n'est toujours pas là ! Mais que fait la poste ? Cela dit, en faisant une nouvelle mise en page en vue d'expédier le manuscrit à un éditeur (et même à plusieurs), j'ai vu une horreur à la fin ! Elle permettrais.... Au secours ! On croit avoir tout vu... et puis non ! Saletés de fautes !!!
Parfois, chère Anne, je soupçonne un genre de génie malveillant (de l'espèce 'petit, ricanant, poilu, cornu qui vit dans une bouteille de bière') de passer derrière nous quand on a terminé de pondre notre prose et de rajouter des fautes (les plus bêtes possibles, histoire qu'on passe vraiment pour des ahuris.) Et ça, rien que pour nous emm...embêter,pardon !( Y'a peut-être des jeunes oreilles qui nous regardent.)