Après avoir remanié ce premier livre, tant il est vrai qu'au départ, l'ouvrage avait des défauts de jeunesse, malgré ma cinquantaine bien tassée, en voici une seconde édition, moins vomitive. Ne cherchez pas un chef-d'oeuvre littéraire, pour me le reprocher ensuite et m'en jeter plein la face. Tenez ce livre comme un simple témoignage, écrit simplement...
En voici également un nouvel extrait : Ma mère...
<< Aimée est morte à soixante-dix-huit ans. Le cortège qui l'a suivi n'est constitué que de ses enfants survivants, quelques-uns de ses petits-enfants et enfin un voisin, qui lui est resté fidèle.
Toute sa vie, elle a cru à l'amour, mais l'amour n'a jamais cru en elle. Nous sommes nés nombreux de ses nombreux amours peuplés de désamours. Elle a cherché ce père qui était aux abonnés absents. Jamais elle n
Bonjour Armelle Certes, nul n'est obligé d'affronter la souffrance des autres... Là, je n'ai pas de réponse, mais le fait d'en parler peut donner de l'espoir, non ? Enfin, vous parlez de respect et là, j'ai le sentiment que tout le monde n'a pas la même notion du respect. A moins que ma notion du respect ne soit que trop idéaliste...
Je viens de lire un extrait de votre livre et ....il me semble que vous parlez de ma mère et de ses nombreux enfants et ce manque d'amour qu'elle n'a pas su ou pu reporter sur ses enfants J'attends votre oeuvre ainsi que la MAISON DE L'OMBRE de notre amie Armelle avec impatience. Je trouve que c'est un peu long maintenant :
J'ai commandé le 12 le 13 : la commande était en traitement
et ce jour, le 19 je n'ai rien reçu
J'espère qu'elle arrivera bien vite car il me tarde de plonger dans vos écrits ainsi que dans l'Ombre de la maison d'Armelle
Bonjour, J'espère que vous recevrez la dernière version de l'ouvrage. Nos histoire semblent se ressembler. Je ne peux pas dire qu'elle n'ait pas aimé ses enfants. Elle était semble-t-il plus femme que mère. Patience pour le livre. A bientôt. Cordialement
Bonjour Stéphane, J'ai lu votre livre. Un livre qui n'a pas dû être facile à écrire, car la plume remonte en surface tout ce qui vous a meurtri, en insistant lourdement puisqu'il faut bien développer. Il faut du courage, mais c'est aussi une thérapie. Maintenant, tout ceci est derrière vous, c'est votre passé. Il vous reste votre passion. elle vous aidera à reconstruire un autre pan de votre vie, plus agréable celui-là. Même si les oeuvres ne sont pas appréciées par tout le monde, elles sont votre expression propre et votre substance. Elles ont donc le droit d'exister, tout comme vous. Bon courage, cordialement.
Bonjour Ganga, Mes larmes coulaient sur mes joues d'homme quinquagénaire, alors que les souvenirs remontaient à la surface. C'est bien pour cela que je ne comprends pas le commentaire critique qui avait pour volonté d'anéantir cet écrit. Pour qui, pour quoi ? A croire que certains ont peur que je leur ravisse la vedette. Sur cette terre, il y a de l'oxygène pour tout le monde. Pour ma part, je ne me permets pas de juger qui que ce soit à propos de ses fautes, de ses erreurs, car si on s'attache aux traces anciennes, on remarquera que les erreurs passées font partie intégrantes de certaines personnalités. Savez vous que A. Einstein était analphabète jusqu'à l'âge de 9 ans ? Alors, qu'il a eu un sacré destin ! Mon message est un message d'espoir pour ceux qui ont souffert et croient leur destinée pourrie. Merci pour votre message, Ganga.
Je viens de finir de lire, sous l'olivier : L'HOMME AUX PIEDS DE CAOUTCHOUC
Et.... comment vous dire ce que je ressens ?
J'en toute émue !
L'histoire de votre famille, de votre souffrance, que vous décrivez avec une extrême pudeur me fait trembler le coeur.
J'ai souri, pleuré, parfois même ai eu envie de hurler face à l'ignominie de certains quidams).
Malgré le funeste destin de votre enfance, de votre fratrie et de vos parents, votre livre est un message d'espoir et d'amour empreint d'une grande sensibilité.
J'ai particulièrement aimé le chapître 18 : AIMEE ? qui est une ode à votre maman.
Je vous remercie de cet instant précieux que vous m'avez offert en vous lisant!
Merci à M de Rodrigue pour son gentil message... Votre gentillesse m'a fait pleurer. J'ai beau prendre de l'âge, la sensibilité est toujours présente.
Aujourd'hui, à 51 ans, je pourrais être un peu tranquille, pourtant le destin est pervers, il faut toujours se battre et contre qui, contre quoi ?
Jeudi, ce 26 février m'a marqué car j'ai vu un urologue, spécialisé dans le dépistage et le cancer de la prostate. Une matinée difficile face à un médecin très sympa, certes, mais qui m'a mis la tête dans ma probable situation. Je n'étais pas vraiment préparé à son discours... Après palpation et échographie, il l'a trouvée normale. Mais devant les résultats des analyses sanguines, je dois refaire des examens dans trois mois et serai fixé sur le sort de ma prostate... C'est dur, mais si je dois la perdre (y compris un risque de handicap, puisqu'elle régule la puissance tant sexuelle, que hormonale, sans oublier l'urine - C'est là, le handicap !), pour continuer à vivre, je n'aurai pas le choix...
Alors en attendant, j'ai décidé de proposer des activités d'art plastique au CHU de Nantes, je ne sais pas comment, mais j'ai envie de donner un peu de bonheur à ceux qui en ressentent le besoin.
Chère Missette, Merci pour vos encouragements, sans oublier Mycha et bien d'autres lecteurs de cet homme aux pieds de caoutchouc, qui ont su voir en cet assortiment de mots alignés de manière automatique, un message pour les générations futures...
Comme le pensait à peu près cela J. J. Rousseau dans 'Rêveries d'un promeneur solitaire' (retranscrit en langage actuel) : 'A chaque instant où l'on se croirait en paix, un événement se présent pour déstabiliser son existence, il faut à nouveau se battre et se remettre en question pour affronter le pire'... Un peu comme après la pluie vient le beau temps... Certains me diront que ce philosophe n'est pas un exemple. Moi, je ne suis pas moraliste !
En attendant, j'ai la trouille au ventre et je sais que dans trois mois je peux apprendre le pire... Devant la difficulté, on est toujours seul.
Ailleurs, je trouverai toujours de gens pour me saper le moral, piétiner ce que je fais, comme çà, pour le plaisir de me mettre le nez dans la fange et de me maintenir dans cette position. Croyez-vous que je vaux moins que vous ?
Alors que d'autre, me donneront de l'espoir et me diront les mots qui réconfortent. Ils ne me connaissent pas, et pourtant me donnent un peu d'amitié, sans rien demander en retour.
Merci à ces derniers... Qu'ils soient assuré de ma gratitude.
Stéphane, je vous ai envoyé un mail (sur une de vos adresses, je crois que vous avez plusieurs adresses donc je sais pas si vous l'avez reçu ?) Je ne suis pas très bavarde (on me le reproche trop souvent !) pardonnez-moi, tous mes mots me viennent du coeur...Dites-moi si vous avez reçu mon message SVP ? Bon courage, Stéphane... Amicalement Missette