Résumé
De matins brumeux, en diaphanes journées. De soirées névrotiques en nuits de pintes bleutées. Un jour, un soir à déterminer, survint cette vision : j’entrais dans le néant existentiel. Nouvelle ère. Absolue. Un art. De l’art de ce néant. De ce tourment. De leurs travers. Des miens. Nos leurres. De l’art du néant existentiel.
De nos violons désaccordés. De ces célestes soirées. Tout à la fois rassurant, oppressant. D’ingénieuses conversations éthérées. Afin de « canaliser, prioriser ». Rationaliser nos vies. De nos sociétés standards. Etendards de nos existences. S’en éloigner encore plus.
Je basculais vers ce néant. Ce serait mon être, ma vie.