Résumé
Le Professeur m'a lancé un pistolet et je me suis précipité dans la nuit. J'entendais les frottements de ma course se mêler à une autre course, puissante, implacable, déterminée. J'imaginais le galop d'un animal déchaîné. Et ce galop progressait. Il se faisait de plus en plus menaçant. Je ne savais pas vraiment ni ce que je faisais, ni vers où ma course allait me mener. Il fallait que j'intercepte le Baron pour tenter de le protéger. J'essayais de me persuader, de me donner du courage mais j'avais peur, terriblement peur : « Tu es courageux' tu es courageux' Ce chien fantôme n'existe pas' ».