Résumé
Quels sont les appuis de notre compréhension du fonctionnement d'un croquis ? La partition échappe-t-elle à toute analyse logique ? Les algorithmes règlent-ils une masse démesurée de hasards (ajournement, réitération dans la manière de construire graphiquement le croquis) que, tant et si bien, leur lecture en deviendrait impossible et ramènerait toute compréhension au seul ensemble pris dans son unicité ? Pour résoudre cette difficulté, doit-on construire une généalogie des signes et de leur succession / imbrication historique ? En somme la partition algorithmique est-elle le récit de sa constitution ou est-elle autre chose qu’un simple alignement de signes selon des répétitions spatiales sur la surface de la page ?