Résumé
I. A MADAME MAURICE DUPIN QUI ALLAIT QUITTER NOHANT. 1812. Que j'ai de regret de ne pouvoir te dire adieu ! Tu vois combien j'ai de chagrin de te quitter. Adieu pense à moi, et sois sûre que je ne t'oublierai point. Ta fille. Tu mettras la réponse derrière le portrait du vieux Dupin. Mademoiselle Aurore Dupin avait alors huit ans. Propriété de madame Dupin de Francueil, puis de George Sand, près de La Châtre (Indre). Portrait au pastel de M Dupin de Francueil, qui se trouve dans le salon de Nohant. II. A LA MEME, A PARIS. Nohant, 24 février 1815. Oh ! oui, chère maman, je t'embrasse; je t'attends, je te désire et je meurs d'impatience de te voir ici. Mon Dieu, comme tu es inquiète de moi ! Rassure toi, chère petite….