Résumé
Dans un contexte social connu par la générosité, une qualité très louée et appréciée, les histoires des avares des conteurs arabes critiquaient l’avarice, avec une légère ironie, visaient le loisir et le rêve, mettant en exergue des traits d’une personnalité amusante, sans vouloir offenser ou stigmatiser.
Or, au contraire, ces avares jouissent plutôt de l’empathie et de la pitié, on racontait afin d’amuser le lecteur tout en préservant le statut de l’avare.
C’est vrai que l’avarie est une qualité non acceptable, mais le grand auteur la décrit d’une façon caricaturale comique, comme voulant sympathiser avec la personnalité, l’invitant à corriger son comportement et revenir au groupe.