Celles qu'on aurait été

A 33 ans, maman d'un petit garçon et vivant en banlieue parisienne, rien n'enchante plus Norah Magel qu'un verre de Pinot noir, chanter à tue-tête un morceau de Balavoine ou de Muse (au détriment de sa bonne entente avec ses voisins) et... écrire bien sûr. Et parfois les trois en même temps.Il faut dire aussi qu'après avoir été infirmière pendant plus de 10 ans, Norah a un beau jour décidé de brûler sa blouse, balancer ses Crocs, renverser son chariot et claquer la porte au salariat pour entreprendre l'une des aventures les plus folles de sa vie : devenir romancière.Le choix de l'auto-édition s'impose alors, plus par choix que par nécessité, pour maîtriser de A à Z les étapes de création de ses livres (et aussi augmenter ses royalties - il faut bien payer le diesel de la C4). Blague à part, elle attache beaucoup d'importance à un rendu impeccable et professionnel d'où l'intervention d'un correcteur pro et des heures passées à transpirer sur ses couvertures et ses mises en... En savoir +