Comme les pas qui craquent dans la nuit. Comme la vrille qui s'enfonce et s'enfonce, Dans le bois qui souffre ; Et éclate de douleur ; Je l'entends qui vient, Je l'entends qui approche, Et approche l'air implacable ; Je l'entends qui entre, Et se cache,Dans le creux de milliers de ventres, Maigres, squelettiques.