Résumé
"Ce qui est écrit pour un jour devrait périr avec le jour. René Groos et l’obligeant éditeur en ont décidé autrement. Mais, pour leur peine, ils ont dû exhumer ces pages des profondeurs de la Nationale… J’aurais voulu les relire comme si elles eussent été d’un autre. Il paraît qu’elles sont de moi. Comme c’est curieux ! Il y a là beaucoup de naïve impertinence. Avec l’âge, j’aurai mis de l’eau dans mon vin. Mais, en somme, ce sont peut-être des notes sur l’état d’esprit d’un jeune homme que dégoûtaient, aux premières années de ce siècle, beaucoup de choses, d’hommes et surtout d’idées et qui réagissait de son mieux."
Au seuil du siècle nous révèle le jeune critique littéraire que fut l'historien Jacques Bainville.