Résumé
Nul n’ignore qu’à la fin du 20e siècle les œuvres graphiques de Reitlag ont dûment fait l’objet d’un juste et double autodafé, sur le parvis de Notre-Dame et dans la cour d’honneur de l’Elysée.
Par malheur, un archiviste pervers a retrouvé de vieilles épreuves à moitié brûlées de cette œuvre inspirée par le démon.
Dans le seul but de démontrer à quel point la tentative d’annihiler ces horreurs était justifiée, nous en avons regroupé certaines ici.