Résumé
Pour la période étudiée, de la fin du 17° siècle aux premières années du 18°, les testaments sont libellés sur un type uniforme. Bien que le plus souvent rédigé par un notaire, secondé par deux témoins, le testament répond dans une première partie à des préoccupations d’ordre spirituel.
Le testateur assure vouloir mourir dans la religion catholique, car de nombreux foyers de la religion réformée persistent autour d’Hucqueliers en 1697. Ne voulant pas mourir ab intestat, immobilisé par la maladie, il dicte ses dispositions, révélant son identité, ses qualités et même parfois son âge.
Notaires étudiés :
- Roboam Miellet de 1678 à 1710,
- François Pillain de 1689 à 1698,
- Antoine Gaignard de 1701 à 1710.