Résumé
Une ligne sépare deux écrits : d’abord les improvisations ou formulations plus ou moins compréhensibles y compris pour l’auteur (toutes ces formulations tiennent en une journée une pièce ma chambre) puis sous la ligne de démarcation, en italique, les interprétations des improvisations. On pourrait les imaginer pour chaque poème écrit et on pourrait penser, à raison, qu’elles tueraient le poème. Je parie, sur ce titre, qu’elles mettrons le poème à l’abri d’une possible chute et qu’ensemble elles tiendront fermes sur deux pieds. Aucune intention de rentrer dans une « analyse » du jeu juste de voir ce qui est le plus aisé d’écrire et de fait ce qui est le plus difficile : le juste ou le caché.