Je suis né en Suisse en 1957, à Sainte-Croix, qui est le balcon du Jura vaudois. J’y passe les 13 premières années de mon enfance. C’est un village de montagne, réputé pour son industrie du "multimédia" analogique et la micromécanique de pointe.
Ma famille a des Valeurs protestantes. Ma mère, alpiniste, me fait partager sa passion de la montagne avec le respect de nature. Je découvre les plaisirs du ski et ceux de la randonnée tout en apprenant à respecter la montagne. Mon père, ingénieur, me fait découvrir les technologies de notre région. Ce sont les caméras, les projecteurs, les tourne-disque, les radios à tube, les boîtes à musique.
Je suis un enfant qui est passionné par les sciences. Je veux tout comprendre. Je veux savoir pourquoi le monde existe. J’aimerais comprendre les théories d’Einstein qui défient ma logique. Cette recherche de la connaissance va me conduire à faire des études de physicien à l'EPFL.
A quatorze ans, mes parents ont déménagé dans le Jura bernois, où je continue ma scolarité. Un camarade d’école me donne à lire le livre de Miklos Nyiszli : « Médecin à Auschwitz ». Ce sont les Valeurs du monde politique qui sont difficiles à comprendre. Elles ne semblent pas être possibles en Suisse, où on enseigne aux enfants que « l’ETAT, C’EST NOUS» !
Je découvre le rôle qu’ont joué les physiciens durant la seconde guerre mondiale avec l’importance de veiller à ce que les gouvernements ne manipulent pas les médias.
Je fais partie du 90% des Suisses qui ont toujours cru que l’ETAT, C’EST NOUS, jusqu’à ce qu’en 1995 un avocat m'annonce un dysfonctionnement majeur du système judiciaire suisse.
SELON CET AVOCAT : L’ETAT NE SERAIT PAS NOUS, MAIS SEULEMENT UNE POIGNÉE D’ÉLUS QUI CONTRÔLENT L’APPAREIL JUDICIAIRE ET QUI VIOLENT LES DROITS FONDAMENTAUX DE NOTRE PEUPLE INSCRITS DANS NOTRE CONSTITUTION ET DANS LA CEDH.
Mon destin veut que je me trouve au bon moment au bon endroit pour constater que les médias suisses sont censurés et que le Conseil fédéral ne donne pas accès à des juges fédéraux indépendants.
On me conseille d’écrire un livre sur cette découverte qui met en danger les droits fondamentaux de plus de 90% des citoyens suisses, dont ceux du groupe de femmes âgées suisses qui viennent d’obtenir, le 9 avril 2024, la condamnation du gouvernement suisse par la CEDH pour la violation des droits fondamentaux de l'Homme.
Suivant la démarche des physiciens, comme Peter HIGGS, qui ont fait l’hypothèse qu’il y avait une particule qu’on ne voyait pas, appelée « Boson », qui permettait d’expliquer le fonctionnement de la matière, j’ai fait une hypothèse similaire pour expliquer la censure des médias suisses :
j’ai fait l’hypothèse qu’il existait des élus et des magistrats qui n’agissaient pas comme les médias nous les présentent. Je les ai appelé : « LES INFILTRÉS ».
Il m’a fallu plus de 20 ans pour établir que le 90% des citoyens ne les connaissaient pas, car les médias suisses étaient censurés.
Cette découverte m’a conduit a écrire mon premier livre qui doit permettre aux 90% des citoyens suisses de comprendre les raisons pour lesquelles la Cour Européenne des Droits de l'Homme a condamné la Suisse le 9 avril 2024.
Parmi « LES INFILTRÉS », il y a Alain BERSET. Ce dernier, lors de son année de Présidence de la Confédération en 2023, a rappelé que tous les Suisses pouvaient dire que « L’ETAT, C’EST NOUS », alors qu’il aurait dû dire :
« JE SUIS UN INFILTRÉ et « L’ETAT C’EST SEULEMENT LES INFILTRÉS », soit une poignée d’élus et de magistrats qui ne respectent pas les droits fondamentaux inscrits dans la Constitution suisse et ceux inscrits dans la CEDH.
Alain BERSET n’a pas pris les mesures que notre peuple aurait dû prendre pour que les juges fédéraux et notre gouvernement ne violent pas les droits fondamentaux inscrits dans la Constitution suisse et la CEDH.
Ce premier livre est un :
«ESSAI SUR LA SURVEILLANCE DU RESPECT DES VALEURS DE LA CONSTITUTION SUISSE"
Cet essai montre qu’Alain BERSET aurait pu éviter que le gouvernement suisse se fasse condamner par la CEDH en empêchant que les médias suisses soient censurés.
Cet essai propose une solution pour qu’à l’avenir, tous les citoyens suisses puissent dire que :
« l’ETAT, C’EST NOUS ! et que les « INFILTRÉS QUI CENSURENT LES MÉDIAS NE SONT PAS L’ETAT »
(Un preprint du livre a été envoyé le 25 mars à la Présidence du Comité des Ministres du Conseil de l'Europe)