Travaillant actuellement au sein d’une grande institution, l’auteur possède à son actif plusieurs expériences dans le montage audiovisuel. Néanmoins, ses aspirations profondes divergent de cette fonction. Au commencement même de ses études cinématographiques, il a en effet développé un attrait conséquent pour la scénarisation. Bien qu’écrire sur un tel support demeurait exaltant, des limites en terme de liberté de création lui apparurent peu à peu limpides. Ce constat décourageant engendra chez lui la nécessité de s’écarter de cette branche.
À la suite d’un court métrage avorté, l'auteur décide de s’orienter vers la Littérature ; non sans une certaine appréhension face à cet art qui lui est, en pratique, étranger. Entamer son premier manuscrit délivre tout d’abord un souhait viscéral, longtemps médité, de bâtir une œuvre sur la piraterie aux Caraïbes. Il y associera ses passions pour la philosophie, les questionnements sur la foi et la spiritualité africaine. Ainsi naîtra Le Libérateur.
Profondément attaché à la singularité des œuvres, l’auteur s’évertue à anéantir les attentes des lecteurs, lors de leur voyage à travers ses lignes. Voyage dont ils devraient revenir lessivés et contaminés par la désillusion, non sans une certaine mélancolie.