Comment vous décrieriez-vous en quelques mots ?
En règle générale j'apprécie beaucoup l'écriture et la créativité, ce qui me porte à réaliser des aventures qui me ravissent énormément.
Mon domaine de pensée est axé sur le modèle évolutif de l'Être dans la maturité spirituelle, comme scientifique et philosophique.
En d'autres termes, ma vision de notre environnement et de la modulation créative que j'en fais, en déposant sur les lignes que la vie m'amène à rédiger, est fondée sur un degré tendant vers les plus hautes sphères de la conscience, de l'esprit et de l'intellect relativement bien élaboré.
Tout ceci n'est pas à prendre en formule de prétention, cela n'est que le reflet de la gratification de ce que la vie m'apporte, et de ce qu'elle m'invite à observer avec discernement et justesse de cœur.
La saga du roman * Les Portes Cristallines au-delà des Monts * est le reflet d'une part de ma vie, dans le sens de ma compréhension, et plus exactement de mes acquis sur le monde et le modèle de la Création.
Précisons que je suis a-religion, a-doctrine. Je suis le courant d'une voie qui extrait des conditionnements et des doctrines de ce monde, sans pour autant être dans le rejet de celles-ci. Chaque chose est à sa juste place.
Je réalise cette œuvre pour montrer une chose différente de la vie, et offrir à quiconque la lira la possibilité d'opter pour un autre regard sur l'existence.
En quelques mots ceci me représente.
Qu’est-ce qui a motivé votre plume et votre goût à l’écriture ?
À l’origine de mon existence, de ma jeunesse jusqu’à la lisière de ma quarantaine, je n’étais pas du tout, comme on pourrait dire, en harmonie avec la littérature. Lire n’était pas une de mes plus grandes qualités, et écrire alors encore moins. Il m’aura fallu une sorte de déclic, comme une évidence, qui a occasionné quelque chose à l’intérieur de moi, comme une révélation, dira-t-on. En moi s’est mis en marche une série d’enrichissements qui m’ont accordé de m’orienter vers des lectures assez profondes, vers la découverte de moi-même à travers les mots. De la magie, de la poésie et de la merveilleuse qualité de cette langue que l’on dit de Molière, alors s’est dessinée en moi la vertu de la plume, chose que jamais, au grand jamais dans ma vie passée je n’aurais pu songer voir se manifester un jour. Et alors, de fil en aiguille, tout s’est mis en place dans ma vie. En commençant à déposer les premiers quelques mots sur la blancheur d’une feuille, je me suis vu partir dans une créativité qui n’avait pas de limites, alors j’ai juste laissé courir la magie de cette nouvelle aventure qui s’en venait à moi.