Author of slams and urban poetry, Pierre Sylvain CALLOU publishes his first collection of modern poetry which "sounds like an empire of words which is built step by step", attached is the preface to my first collection written by my friend Hejer Kewesh. This first collection will probably be between 90 and 100 pages, which is quite remarkable for a first production, Pierre Sylvain Callou known as Sylvaninõ, takes us on a journey into an eclectic post-modern universe and sketches moments of consciousness or life at random from his " moods” or encounters sometimes smiling sometimes dark.
The title of the first collection should be "Joies & peine " by Sylvain CALLOU, unless changed.
Preface
“I create my empire, an empire of words that resonate”: this beautiful alexandrine is, undoubtedly, the one who best exudes the spirit of this collection of free poetry. Truculent, colorful and alert, it stands out. In the same vein, this opus could happily have the subtitle Sylvain or frank camaraderie. And, for good reason, its resolutely modern tone hits the mark. Thanks to the 58 poetic texts chanting this hymn to abundant life, Sylvain gives free rein to his moods as well as his existential reflections. What does that mean other than that this everyday poetry proves to be an outlet for one's inner demons as well as the anxiety of the blank page. The artist's enthusiastic verve is expressed in so many snapshots of life stolen from the eternal moment. Steeped in slam and rhythmic prose, this free poetry with a postmodern look unearths a melancholy inspiration distilled by the poems of the spleen exhibiting an urban lyricism of the finest craftsmanship. Obviously, this impactful work, in more than one way, radiates like a tantric phoenix thanks to the harmony of opposites through various framings and animations.
In this work with both prosaic and exotic accents, a photo novel emerges immortalizing the great episodes that punctuated the destiny of the eclectic artist. Through intimate scenes like this kiss in the Japanese park or group scenes such as football matches and the New Year's celebration, the author gives pride of place, if there is one, to vibrant emotions. Not content with immersing us in his world through eponymous portrait poems dedicated to his friends and sweethearts, he invites us on an exhilarating journey. Along the way, we travel, in quick succession, the Far Eastern countries of Tibet, Japan, Nepal but also France, Greece and the United States. That is to say the thirst for escape diffracting even in temporality, in particular by the evocation of past lives. Who says reincarnation says spirituality and, for once, Sylvain praises, with mastery, his mystical mentors who are Buddha, Jesus and even Zeus, totally transfigured. So much for his mantra poem. It is indeed a question of “wisdom of East and West, the alliance of the religions of our parents. And, to end on a high note, let's say like our poet "Amen to everything, to you, to all".
Auteur de slams et de poésie urbaines, Pierre Sylvain CALLOU publie son premier recueil de poésies modernes qui "sonnent comme un empire de mots qui se construit pas à pas", ci joint la préface de mon premier recueil écrite par mon amie Hejer Kewesh. Ce premier recueil fera probablement entre 90 et 100 pages, ce qui est assez remarquable pour une première réalisation, Pierre Sylvain Callou dit Sylvaninõ, nous fait voyager dan un univers post moderne éclectique et croque des instants de conscience ou de vie au hasard de ses "humeurs" ou rencontres parfois souriantes parfois sombres.
Le titre du premier recueil devrait être "Joies & peine" par Sylvaninõ, sauf changement.
Préface
« Je crée mon empire, un empire de mots qui sonnent » : ce bel alexandrin est, assurément, celui qui exhale le mieux l’esprit de ce recueil de poésie libre. Truculent, haut en couleurs et alerte, il détonne. Dans la même veine, cet opus pourrait volontiers arborer pour sous-titre Sylvain ou la franche camaraderie. Et, pour cause, son ton résolument moderne fait mouche. À la faveur des 58 textes poétiques scandant cet hymne à la vie foisonnante, Sylvain laisse libre cours à ses états d’âme en même temps qu’à ses réflexions existentielles. Qu’est-ce à dire sinon que cette poésie du quotidien s’avère un exutoire à ses démons intérieurs en même temps qu’à l’angoisse de la page blanche. La verve enthousiaste de l’artiste se décline en autant de clichés de vie volés à l’instant éternel. Pétrie de slam et de prose cadencée, cette poésie libre d’allure postmoderne exhume une inspiration mélancolique distillée par les poèmes du spleen exhibant un lyrisme urbain de la plus belle eau. Évidence oblige, cet ouvrage percutant, à plus d’un titre, irradie tel un phénix tantrique grâce à l’harmonie des contraires moyennant divers cadrages et animations.
Dans cette œuvre aux accents à la fois prosaïques et exotiques, affleure un roman-photo immortalisant les grands épisodes ayant ponctué le destin de l’artiste éclectique. Au gré de scènes intimistes comme ce baiser au parc japonais ou de tableaux de groupe tels que les matchs de football et la célébration du Nouvel An, l’auteur fait la part belle, s’il en est, aux émotions vibrantes. Non content de nous plonger dans son univers moyennant des poèmes-portraits éponymes dédiés à ses amis et dulcinées, il nous convie à un voyage exaltant. Chemin faisant, nous sillonnons, coup sur coup, les contrées extrême-orientales que sont le Tibet, le Japon, le Népal mais aussi la France, la Grèce ou les États-Unis. C’est dire la soif d’évasion se diffractant même dans la temporalité, notamment par l’évocation des vies antérieures. Qui dit réincarnation dit spiritualité et, pour le coup, Sylvain encense, avec maestria, ses mentors mystiques qui sont Bouddha, Jésus et même Zeus, totalement transfiguré. Autant vaut pour son poème mantra. Il est bel et bien question de « sagesse d’Orient et d’Occident, l’alliance des religions de nos parents. » Et, pour clore en beauté, clamons comme notre poète « Amen à tout, à toi, à tous ».