Ce recueil comprend 40 micronouvelles noires. Il se veut un trait d’union entre deux univers créés par Jérémy Bouquin. Celui de N, l’ennemi public numéro un, et celui des #96 mots, des fragments où des femmes éprises de liberté se trouvent aux prises avec le quotidien. 40 N peut donc être considéré comme une modeste tentative de convergence des luttes.