Arthur MYARD

Après dix ans d’expériences en finance et de nombreuses connaissances accumulées, il m’est devenu essentiel de partager et transmettre mon savoir.

Bref historique :

En 2008, j’étais fraîchement diplômé d’une école de commerce spécialisation en Finance et commerce international à Lyon. Je monte à Paris pour trouver un premier travail dans le plus gros bassin d’emploi de la France. Et là, on me parle de “Crise économique” : les médias nous bassinent avec les “subprimes“. Je trouve donc un CDD en Finance pour Canal+. Après six mois, je me rends compte que la fourmilière de Paris et la qualité de vie ne me conviennent pas.

Je retourne sur Lyon. Là-bas je décroche un VIE pour la Suisse Allemande pour travailler dans une filiale de SAFRAN en tant qu’auditeur interne (cf. Loi Sarbanes-Oxley). A la fin de mon VIE, la filiale en Suisse me propose directement un CDI en Suisse Allemande.

Je suis resté en tout six ans près de Saint-Gall. L’été 2014, j’entends pour la première fois un ami me parler du Bitcoin avec une histoire hallucinante d’une personne ayant perdu un disque dur valant des millions : cliquez ici pour lire l’article. Je me dis que le prix ne montera pas plus et qu’il a connu son plus haut, je ne creuse pas l’histoire.

Par la suite, j’ai rejoins mon “âme sœur” à Paris et j’ai aidé quelques mois les restaurants du cœur. Puis j’ai travaillé de nouveau six mois près de Sarcelles dans une filiale du groupe Daimler.

En avril 2016, j’ai convaincu mon âme-sœur de me suivre en Suisse. Nous avons ainsi “atterri” à Neuchâtel. J’ai travaillé cette fois-ci pour l’Office Fédéral de la Statistique toujours en Finance. Mon âme- sœur ne trouvant pas de travail et ayant du mal avec la taille de la ville, nous avons décidé de bouger ensemble sur Lyon.

En 2017, une fois à Lyon je travaille pour une Filiale du Groupe AltéAd, lorsqu’une collègue me parle du Bitcoin. Cette fois je me penche sur le sujet. Ce que j’ai découvert m’a complètement passionné ! L’”univers Crypto” m’a littéralement absorbé.

Il ne se passe plus un jour sans que j’essaye d’épancher ma soif de connaissances ! Je pense aujourd’hui être en mesure de transmettre mon savoir et d’apporter mon bloc de pierre à cette édifice qui ressemble pour moi à une chaîne d’espoir pour l’humanité de reprendre le contrôle sur la valeur de son temps.