Dominique Se Min Gan nous raconte ici son enfance. À l’âge de huit ans, sa mère le met en pension chez les sœurs sans plus d’explication. Les débuts sont difficiles et il pleure souvent le soir dans son lit.
Le petit Dominique pense en effet qu’il va rentrer chez lui… Heureusement, la supérieure le prends en affection et lui donne des cours afin qu’il rattrape son retard en lecture. Petit à petit, il s’adapte.
Mais comment vivre quand tout autour de lui est voué à l’instabilité ?
Dominique va devoir faire face à l’absence de sa mère et à l’adolescence pour pouvoir rentrer dans sa vie d’homme.
Un récit simple et touchant, qui évoque le quotidien d’un pensionnat des années soixante.
Les dialogues sonnent justes et l’écriture nostalgique dépeint bien l’univers de son enfance.
Cette autobiographie parlera à tous ceux qui ont dû apprendre à grandir seul, à aimer malgré tout… et à pardonner.
Dominique Se Min Gan est né à Paris en 1958 au sein d’une famille modeste.
A huit ans, il doit quitter l’école publique pour être placé en pension dans un institut médicaux-pédagogique tenue par des religieuses, sans aucune explication, sans même lui dire où il allait.