J'ai l'impression de toujours avoir écrit : des écritures qui emplissent mes fonds de tiroirs . Et puis il y a eu la vie, et tout ce que l'on laisse derrière soi, et tout ce que l'on oublie, et puis tout ce que l'on retrouve et que l'on s'accapare à nouveau. L'écriture est fidèle, elle revient toujours.
Ce premier livre "LE CHEMIN" est étrange : comment une femme peut-elle parler d'homosexualité masculine ? L'explication existe, mais dans un autre livre.
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