Mic Bruner est né en 1943 à Attignat, à côté de Bourg-En-Bresse, dans l'AIN (01).
Il se dit épicurien modéré, très cartésien et athée. Comme il aime à le dire, il a vécu une vie sur un vélo sans selle selon une de ses métaphores personnelle qu'il aime cultiver. Après une longue carrière de cadre dans la publicité, au cours de laquelle il a visité la "vieille Europe", il profite d'une retraite bien méritée. Il décide de voyager à la rencontre d'une partie du monde plus ensoleillé, soit une trentaine de pays durant 13 années consécutives.
Il se découvrit une nouvelle passion avec des sources inépuisables "l'écriture". Trois livres sont à son actif, un quatrième est en cours de réalisation, et d'autres titres devraient être révélés. Tous écrits d'un style et de sujets différents. Mic Bruner se décrit comme un écrivain caméraman. Il visionne ce qui se passe autour de lui d'une manière très authentique et sans parti pris. Comme il aime à le dire, à la place du cerveau, il a une caméra qui transmet à sa plume des impressions et des faits qui l'interpellent et qu'il aime coucher sur papier ! Il lui arrive de donner un avis sans jamais imposer sa pensée.
A priori, il n'aime pas trop les romans. Pour lui c'est un style auquel il n'adhère pas totalement. Il aime le vrai, le réel, le concret. Partant de là, il imagine et se réjouit de la possibilité d'un monde meilleur afin de ne pas tomber dans un pessimisme dégradant. Ayant eu toute une vie au service de la création, Mic Bruner ne peut et ne pourra jamais s'empêcher de créer. Dès l'âge de 13 ans, il dessinait déjà au crayon sur papier le couple people de l'époque : Brigitte Bardot et son mari Jacques Charrier, aux côtés du grand père artiste peintre qui l'a largement inspiré dans sa vie. Il se prénommait Charles comme notre grand CHARLES DE GAULLE. De vrais grands personnages qui sont pour Mic Bruner de grandes références au niveau des valeurs intrinsèques.
Nous avons vécu une période dominée par des intellectuels médiatiques connus. Il faut refaire la révolution de 1789 dans le domaine de la pensée. Il faut donner la possibilité à des hommes qui pensent plus terre à terre et qui vivent la réalité d'une toute autre manière beaucoup plus modestes et vrais, de s'exprimer ; alors que tous les anciens grands penseurs de l'ère "Mitterrand" ne peuvent sortir de leur vision et changer de direction. Je pense qu'il faut amplifier la création de nouveaux espaces (le numérique, etc.) pour les jeunes talents de notre temps. Les sites de diffusion en ligne gratuits sont un signe encourageant pour de nouveaux écrivains sans pour cela enterrer nos anciens. Certains resteront des modèles tels qu'Albert Jacquard, grand humaniste scientifique, Luc Ferry, humaniste tempéré qui est l'ennemi de la pensée "soixante-huitarde", qui prend une grande liberté de parole que je partage...Et bien d'autres...
Mic Bruner se reconnait dans la définition de "l'artiste brut" donnée par Jean Dubuffet. Il a même été comparé par un de ses lecteurs ainsi : "[...] En quelque sorte, tu es le douanier Rousseau de la peinture ou le facteur Cheval de la sculpture...[...]".
« Nous entendons par là des ouvrages exécutés par des personnes indemnes de culture artistique ["littéraire" en ce qui concerne Mic Bruner ], dans lesquels donc le mimétisme, contrairement à ce qui se passe chez les intellectuels, ait peu ou pas de part, de sorte que leurs auteurs y tirent tout (sujets, choix des matériaux mis en ??uvre, moyens de transposition, rythmes, façons d'écriture, etc.) de leur propre fond et non pas des poncifs de l'art classique ou de l'art à la mode. Nous y assistons à l'opération artistique toute pure, brute, réinventée dans l'entier de toutes ses phases par son auteur, à partir seulement de ses propres impulsions. De l'art donc où se manifeste la seule fonction de l'invention, et non, celles, constantes dans l'art culturel, du caméléon et du singe. »
' Jean Dubuffet, L'art brut préféré aux arts culturels, 1949 (Manifeste accompagnant la première exposition collective de l'Art brut à la Galerie Drouin, reproduit dans Prospectus et tous écrits suivants, Gallimard, 1967)
« L'art ne vient pas coucher dans les lits qu'on a faits pour lui ; il se sauve aussitôt qu'on prononce son nom : ce qu'il aime c'est l'incognito. Ses meilleurs moments sont quand il oublie comment il s'appelle. »
' Jean Dubuffet. 1960
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