J’apprécie toutes les formes d’expression écrite, et plus particulièrement, celles qui offrent une certaine liberté dans le style de rédaction. En tant que journaliste pigiste, j’ai eu l’occasion de construire plusieurs articles et d’expérimenter divers styles de rédaction journalistique.
Actuellement, je mets mes compétences au service d’une maison d’édition. Parallèlement, j’éprouve une nécessité grandissante de m’exprimer par des mots et d’encadrer cette expression au sein de groupes indépendants de poésie, notamment le groupe francophone de poésie combattante et l’alliance de la poésie surréaliste.
Vu mon admiration grandissante pour le peintre du chaos Salvador Dali, un choix s’imposait à moi, celui de marier la toile et l’expression poétique, seule option, à mon humble avis, qui soit capable de fidélité envers les pensées foisonnant dans mon esprit. C’est ainsi que j’ai réussi à écrire et publier un recueil inspiré des toiles ce peintre amoureux du chocolat.
Je trouve justifiée l’idée que le courant surréaliste, là encore dûment représenté par Dali, plus que tout autre courant de la peinture, multiplie les champs vierges offerts aux contemplateurs pour y semer leurs interprétations. Sous le voile de l’incohérence subsiste toujours la vérité de la nature de l’homme.
J’aime par ailleurs collectionner des œuvres musicales dont une grande part constitue les prémisses de l’évolution du Jazz vers un style musical à part entière.